Journal
des Palestiniens
12- 05 au 14- 05
Par M.Lemaire
Ce
journal est obtenu par la lecture journalière des
journaux en ligne (Afp- ats - Ap - Reuters ainsi
que les sources d'informations de la résistance).
ensuite
patiemment
je fais les recoupements...
Avant propos
57éme
anniversaire : Al Nakba ''La Catastrophe'' une
tragédie sans fin
La mémoire
de la Nakba et les séquelles douloureuses
laissées dans la conscience collective,
sont une leçon ineffaçable pour le peuple
Palestinien.
Elles sont
une affirmation claire de de sa volonté à
résister jusqu'au recouvrement total de
l'ensemble de ses droits nationaux légitimes
et reconnus.
Comment un état a rassemblé les juifs
sionistes du monde au lieu des propriétaires
légaux en Palestine? Une question qui est
devenue inutile mais se poser la question
signifie affronter la longue histoire de la
colonisation juive qui avait comme but de
chasser le peuple palestinien de ces terres
et mettre à sa place les juifs venant des 4
coins du monde, qui a eu comme conséquence
la mort de milliers de palestiniens, la
fuite vers d'autres pays et la
destruction de leurs maisons.
Lire suite dans dossier 7-1/7-3 Al
Nakba ''La Catastrophe''
11-05 au 14-05 :
Peuple Palestinien : 1
tué - 0
blessé
1 Politique
Palestiniene
1-1
Processus de paix :
14-05
#
Dans une interview avec le journal
arabe, basé à Londres, " Al-Sharq
Al-Awsat ", le président palestinien
Mahmoud Abbas a déclaré que les attaques menée
par le président israélien, le premier
ministre et des autres ministres du cabinet
israélien, contre lui, ne pourront pas
l’arrêter dans sa tentative d’une
Palestine libre ...Abbas
considère les attaques israélienne contre
lui comme une tentative de la part d'Israël
de ne pas faire suite à leurs obligations
dans le processus de paix, en particulier le
retrait des villes palestiniennes et la libération
de prisonniers palestiniens, en échange de la
trêve conclue pendant le sommet du 8 février.
Beaucoup de israéliens commencent à
comprendre que j'ai réalisé une série de
mesures, cependant ceux qui insistent pour
garder leurs positions(contre moi) , ils sont
libres de le faire, a conclu Abbas.
Mahmoud Abbas a réitéré l'engagement de préserver
l'unité nationale palestinienne, ne
permettant une guerre civile, dans laquelle
Israël semblait intéressé, " si Israël
veut nous engager dans une guerre civile, cela
signifie qu'Israël veut le collapse de
l'entier processus de paix, non seulement en
Palestine ; mais de la région entière
".
" Si nous pouvons convaincre le peuple
d’une trêve, cela est mieux que de notre
implication dans une guerre civile que nous ne
désirons pas du tout ", a-t-il précisé.
Confirmation :
L'archevêque
Aristarque(secrétaire général de l'église,
a déclaré que Irénée 1er, est
"inapte à diriger" car il a
"violé de nombreux principes de l'église
orthodoxe". Et il a exigé le départ
du patriarche
Mgr Aristarque, précisant:
"Je demande la démission du
patriarche à cause de cet accord"
immobilier. "Je pense que nous devons
respecter les sensibilités politiques, ce
qui signifie que l'on continue de donner
aux juifs ce qui appartient aux juifs et
aux Palestiniens ce qui appartient aux
Palestiniens",
AP
1-4
Gouvernement
cherche coalition
14-05
Le président de l'Autorité palestinienne,
Mahmoud Abbas, a rejeté toute intention de
reporter les élections législatives prévues
en juillet prochain.Abbas a en outre critiqué
les menaces israéliennes de ne pas se
retirer de la bande de Gaza si le mouvement
du Hamas remportait les législatives ...
Mahmoud Abbas " Israël
appelle à la démocratie, et de tels propos
sont contraires à la démocratie, a-t-il
estimé. Le Hamas deviendra naturellement un
parti politique, se présentera aux élections
et participera au pouvoir. "
14-05
Le Premier ministre
palestinien Ahmad Qoreï a déclaré :
Les élections auraient lieu à la date prévue,
le 17 juillet,
12-05
#
Le premier ministre palestinien,
Ahmed Qureï a critiqué le silence arabe
devant les menaces que la ville de Jérusalem
confrontait ainsi que le fait qu’Israël
fermait complètement les territoires
palestiniens
le jour ou Israël organisait un cérémonie
à la mémoire de ses morts en1948 et fêtait
sa création
Qureï " Jérusalem est en danger
et nous n'avons pas entendu un mot de
notre monde arabe, un mot puissant,
retentissant et disant stop; c'est une
ligne rouge."
Il a ajouté que:" les extrémistes
juifs appellent journellement à mettre
la main sur la mosquée d'Al-Aqsa."
De plus, il s'est demandé : " que
nous avons entendu que de mots timides
et simples? Nous n'avons pas du tout
entendu de mots qui nous prêtent
main-forte."
Qureï a en revanche montré le prix des
retraits:" ils se retireront de
Gaza en contrepartie du contrôle sur la
bande de Gaza et ils se retireront de 4
colonies à Jénine (au nord de
Cisjordanie) en échange du judaïsme de
Jérusalem."
"De part, si 2 000 logements ont été
démantelés à Gaza d'autre, Israël va
construire 3 500 logements à Jérusalem
et 4 000 logements en Cisjordanie."
source : Ipc
2
Politique Israélienne
2-2
Des Canons ... pas du beurre
12-05
#
Bande de Gaza
Manifestation
de 35.000 ultranationalistes israéliens
(protégés par la police) se sont
rassemblés dans les colonies juives de la
bande de Gaza, à l'occasion de la fête
de l'indépendance israélienne.
Les colons
et leurs partisans ont clamé leur volonté
de conserver leurs habitations sur ce
territoire qu'Israël occupe depuis 1967
et ont inaugurét une synagogue dans la
colonie de Kfar Darom, dans le sud de la
bande de Gaza.
(En
Cisjordanie, 1.500 ultranationalistes ont
également manifesté).
(avec
Reuters) –
2-3 Sur le terrain
Démographie
Israël,
compte une population de 6,9 millions
d’habitants,
comprenant
76 % de Juifs (5
millions 260.000),
4 % de non-Juifs
(290.000)
20 % d’Arabes (1
million 350.000).
65 % des Israéliens
sont nés dans le pays (plus de 3 millions
et demi)
35 % sont des
immigrants venus notamment de l’ancienne
URSS (950.000), du Maroc (157.000), de
Roumanie (110.000) et du continent nord-américain
(77.000).
L'immigration française
est régulière mais moins importante.
Lors
de la création de l’Etat, les Juifs
natifs d’Israël étaient minoritaires
et ne représentaient que 35 % de la
population totale du pays.
2-5
Gouvernement cherche coalition désespérément
10-05
# La
coalition n’ayant pas obtenu lundi la
majorité pour un transfert de fonds supplémentaire
destiné à financer le plan de démantèlement,
la commission parlementaire des Finances a
procédé ce mardi à un nouveau vote.
Mais
cette fois, le gouvernement n’a pris aucun
risque et s’est assuré au préalable du
soutien du député arabe israélien Ahmed
Tibi dont la voix était déterminante.
Le
directeur du cabinet du Premier ministre
Ilan Cohen avait tenté lundi d’obtenir
son soutien mais Tibi avait repoussé ses
avances. Il n'a pas tardé à changer
d’avis mais ce revirement n’était pas
gratuit.
Lors du nouveau vote, mardi matin, cette
rallonge budgétaire, d’un montant de 108
millions de shekels a été cette fois entérinée.
Six députés l’ont approuvée alors que
les cinq autres s’y sont opposés. C’est
Ahmed Tibi qui a comme prévu fait pencher
la balance. Il a obtenu en contrepartie la
promesse que des budgets supplémentaires
seraient alloués au secteur arabe. Les
collaborateurs de Tibi ont souligné que
celui-ci ‘’n’avait pas touché
d’argent mais que le ministère du
Logement s’était engagé à promouvoir
des projets en faveur de la population
arabe''.
Le député Likoud Ayoub Kara, qui fait
partie des opposants au plan de retrait,
s’est indigné de ces méthodes, déplorant
que ''Sharon procède à l’évacuation des
localités juives grâce à la voix de Tibi'',
et ajoutant qu’il était ''triste que le
Premier ministre dépende du bon vouloir des
députés arabes qui sont les ennemis d’Israël''.
Le Forum des professeurs d’université
pour un Israël Fort a réagi à son tour
par un communiqué transmis par son président,
le docteur Ron Breiman, dans lequel il était
indiqué : ‘’Le gouvernement du
transfert agit de façon de plus en plus
absurde en promettant des gratifications aux
Arabes afin que ceux-ci soutiennent
l’expulsion des Juifs de leur
maison’’.
Dans l’entourage du ministre du Logement,
Itshak Herzog (travailliste), on tente de
s'expliquer en prétendant que ce dernier
‘’œuvre, depuis son entrée en
fonction, en vue de promouvoir le secteur
immobilier arabe et mettre fin à la
discrimination dont souffrent les Arabes
israéliens depuis des années’’.
Arouts7
2-10 Politique
colonialiste israélienne (Colonisation
& colonies)
#
Sondage Maariv-Teleseker
07-05
a) le soutien
au plan de retrait s’effrite !
Lors des dernières
semaines, le soutien au plan de retrait
est tombé de 61% à 54%,
alors que le
pourcentage d’Israéliens opposés au
démantèlement s’élève à présent
à 33% de la population.
b) sécurité
personnelle, (sentiment de sécurité
lors des déplacements.)
74% de confiance.
(
Arouts7 )
Sylvan Shalom,(
ministre des Affaires étrangères)
09-05
il n’est même
pas certain que les élections générales
au sein de l’autonomie palestinienne
se déroulent selon le calendrier prévu,
à la date du 17 juillet prochain.
Cependant, selon
Shalom, "théoriquement, si le
Hamas remporte les élections il ne me
paraîtrait pas logique d’avancer dans
le plan de retrait comme si de rien n’était
et livrer ces territoires aux mains du
Hamas ce que nul ne souhaite. Notre
objectif ", poursuit Shalom "
est d’en donner le contrôle à l’AP."
Sylvan Shalom a
d’ailleurs appelé l’autonomie
palestinienne à interdire la
participation du Hamas aux élections.
Arouts7
10-05
Lors d’une conférence
de presse commune donnée avec le
responsable des Affaires intérieures
palestinienne, Nasser Youssef, à
l’occasion d’une journée de réflexion
sur les liens entre démocratie et sécurité,
Shalom a déclaré : "Il nous
revient à tous d’empêcher le Hamas
de s’intégrer au système politique
de l’autonomie. Il n’y a pas et ne
peut y avoir de place dans une société
démocratique pour un parti qui possède
des armes et fomente des actions
terroristes contre les citoyens
voisins."
Arouts7
10-05
Les habitants du
Goush Katif ont affirmé que le
gouvernement avait décidé ce report
parce qu’il n’était pas prêt.
Ils ont ajouté
que cet ajournement entraînerait
finalement l’annulation
du décret.
10-05
Le président de
la Knesset Ruby Rivline critique la
politique de Sharon et
l’accuse notamment de ‘’vouloir
diviser Jérusalem après
l’application du plan de démantèlement’’.
Sharon s’est défendu...
Lors
d’une interview accordée à la chaîne
télévisée de la Knesset. Il a déclaré
qu’il serait bien le dernier à
envisager de porter atteinte à l’intégrité
de la capitale.
Arouts7
Shimon
Peres (le tiède & et le forid...)
09-05
Shimon
Peres a estimé que le retrait de Gaza
n'était pas encore acquis et pouvait même
être compromis si les maisons des
colons de la région devaient être démolies
(afp)
10-05
#
Lors d'une interview le
vice-Premier ministre Shimon Peres a déclaré
ne pas comprendre les Israéliens qui prônent
la destruction des maison des habitants
des localités juives de la bande de
Gaza au lendemain du plan de retrait.
''Il
faut se rendre compte que cela représente
des tonnes de gravats qu'on mettra trois
mois à déblayer. Les Palestiniens
n'ont qu'à danser sur les toits, en
quoi cela nous importe''.
11-05
Interrogé sur
l'éventuelle destruction des maisons
des colons de la bande de Gaza, Sharon
a refusé de répondre. "D'un côté
les images de maisons détruites ne
sont pas bonnes pour nous (à l'étranger)
mais je ne veux pas non plus voir des
terroristes agiter des drapeaux et
danser sur les toits des maisons (de
colons)",
Le
tribunal militaire de Salem en Samarie a
infligé neuf peines de réclusion à perpétuité
à Kamil Abou Hanish, (un responsable
local du FPLP)
3 Politique internationale
des territoires occupés
3-9 Autres
BRASILIA.
# Les
dirigeants de 12 pays d'Amérique du Sud
et de 22 pays arabes.se sont rencontré a
Brasilia
10-05
Les Etats-Unis
auraient tenté par tous les moyens d’empêcher
la tenue de cette conférence, en exerçant
de lourdes pressions sur le Brésil, ou
d’obtenir au moins la participation d’un
observateur américain. Mais le gouvernement
brésilien aurait refusé, suscitant la colère
de Washington qui aurait alors exigé de ses
alliés arabes de ne pas rejoindre cette
conférence. L’Egypte et l’Arabie
Saoudite auraient partiellement cédé, à
contrecœur, en n’y envoyant que leur
ministre des Affaires étrangères.
source: site Internet
NFC
4 Territoire
palestinien occupé :
4-1
Décompte des pertes humaines (Depuis
le début de l'Intifada le 25 septembre
2000 )
La
Résistance dans
les Territoire
palestinien
occupé :
4-1
La Palestine
en chiffre &
au jour le
jour (Depuis
le début de
l'Intifada le
25 septembre
2000 )
2-1
Palestine :
Civils &
résistants tués
: 4.035
dont :
648
de
moins
de
21
ans
Internationaux soutenant
la
Palestines
: 111
(chiffre
tout
a
fait
minimal)
Palestiniens
blessés
par
les
forces
israéliennes
et
les
colons
: 44.635
(balles
réelles
ou
caoutchoutées,
gaz
lacrymogène,
autres
moyens)
Arrêtés
: : 40.195
En
prison
:
:+/-
7.000
Pacifistes
en
prison
ou
arrêtés
: +
24
Autres
actes
Journalistes tués
:
9
Nombre
de
maisons
palestiniennes
détruites
ou
partielemnt
démolies
:
66.256
2-2
Occupants:
Israéliens tués
:
1.045
322
militaires
Israeliens blessés
:
5.762
( 1185
militaires)
Chiffres
tenu
à
jour
par
ML
(suivant
un
décompte
gouvernemental
palestinien
(pour
la
Palestine)
|
Dossier
:
4-2 Détails
par région
Hébron
(sud de la Cisjordanie)
14-05
Suite a une
perquisition les Foi ont envahi
la maison et frappé durement la femme qui
s’y trouvait
Selon des sources locales, Wedad al-Qa'ood,
57, qui a succombé de ses blessures
.
Autres
territoire palestinien en Cisjordanie
occupée par Israël depuis 1967
village
d'Ain Al Bida
12-05
Selon des témoins,
les forces appuyés par des blindés et des
chars ont déclenché une campagne de
perquisition dans la région et arrêté les
citoyens Yassin Dababat , Abadllah Raf'
Dababat et son frère Walid. (trois citoyens
de la ville de Tubasse alors qu'ils se
trouvaient dans le village Al Bida
Bande de
Gaza
Khan
Younés
12-05
les forces de l'occupation israélienne ont
occupé le bâtiment d'Al Mattan et l'ont
transformé en poste militaire.
Selon des témoins, des soldats israéliens
de l'occupation ont arrêté les 40
travailleurs
7-1 : Al nakba
a)
57éme anniversaire : Al Nakba ''La
Catastrophe'' une tragédie sans fin
(suite de l'avant propos.
A la 56iéme commémoration
d'Al Nakba, la conscience palestinienne est
levée dans un nouveau vaste Naqba de Jenine
à Rafah. Cette fois les palestiniens, qui
avait été déjà chassés ont partagé le
vagabondage avec les palestiniens, qui était
en sécurité dans leurs maisons, devant les
yeux du monde entier, qui est devenu comme une
petite boite fermée. Des milliers de
palestiniens, soit des indigènes soit des réfugiés
de la première Nakba, sont du nouveau sans
abri à cause du bombardement israélien qu'il
n'était pas suffisant par démolir les
maisons, mais a visé leurs propriétaires.
Le 14 du Mai de chaque année depuis 1948
constitue une nouvelle commémoration d'Al
Nakba, car en 1948 c'était le résultat impératif
du conflit des forts sur le faible; l'impérialisme
britannique, qui a voulu se laver la main de
ses promesses à ses amis sionistes, a élaboré,
en 1917, une promesse de sécurité à l'établissement
d'un foyer national collectionnant les juifs
du monde en Palestine, qui était connue par
"la Lettre de Balfour", pour donner
à celui qui ne possédait rien; en l'offrant
au mouvement sioniste apparu en Europe pendant
le neuvième siècle, qui était apparu par
dans le livre de Theyidor Hartsel "l'Etat
Israélien" publié en 1896, qui a mis
les fondations de l'esprit des convoitises
sionistes de la terre palestinienne, qui était
affirmé par les proche du sionisme comme il
était apparu dans l'article "la faute et
la nativité" du membre de la Knesset
israélien, Ishaayaho Ben Fort publié au
quotidien israélien Idiot Ahranot le
14/7/1972; :la vérité est que pas de
sionisme sans colonisation et pas d'un état
juif sans une évacuation des arabes et des
confiscations et des terres et les siégés".
Al Nakba … meurtre et vagabondage
Une année de tuerie sans punition. Le tueur
est connu … des gangs sionistes armés, des
armes britanniques, qui étaient à l'époque
les mandataires de la Palestine, la victime
est aussi connue; des milliers de palestiniens
de Haïfa, Jaffa, Acre, Oum Al Fahem et
AL-Ramla, contre lesquels les massacres les
plus sauvages ont été commis, par exemple le
massacre de "Der Yacine", un village
originellement palestinien, loin quelques 6 Km
au ouest de Jérusalem.
En 1948, les deux gans juifs terroristes
"Argon" et "Shatirn",
avaient surpris les habitants de Der Yacine et
ont commencé à les tuer sans distinguer
entre enfants, femmes ou des vieux, encore les
juifs étaient sauvages même contre les
cadavres des victimes, qui les ont jetés dans
le puits du village; la plupart des victimes
mortes étaient des enfants, femmes et des
vieux. Le nombre de ce massacre était arrivé
à 254 martyrs.
Un autre exemple de l'agression et du
terrorisme sioniste, le massacre d' "Al-Daouayma"
le 29/10/1948, où une brigade de
l'organisation "Yahya" terroriste,
dirigée par Mousheh Dayan, y était entrée,
en feuillant les maisons et tirant des feux
contre ses habitants. Des familles entières
ont été tuées pendant ce massacre, qui
avait fait 200 morts.
De plus, le massacre d' "Abou Shousha",
qui avait lieu le 14/5/2004, dans ce village,
est situé à presque 5 milles de la ville
d'Al Ramala. Ce massacre a été réalisé par
les soldats juifs de l'unité de "Jaf'ati",
qui ont encerclé le village de toutes les
directions, en avançant vers son centre en
tirant intensivement et sans distinction vers
les maisons et les habitants, d'ou le martyre
de 60 habitants.
Le Centre d'Information National Palestinien
du SIS (State Information Service), mentionné
que les juifs ont commis plus que 56 massacres
(qui peut mentionné une nombre fixe? Aucun.
Tout simplement car les massacres israéliens
contre le peuple palestinien sont devenus
continues), qui ont abouti la mort des milles
de palestiniens, tués d'un sang froid et sans
aucune conscience devant les yeux du Comité
International, formé récemment après la fin
de la première guerre mondiale.
Les familles se sont échappées pour sauver
leur vie, mais en gardant dans leurs mains les
clés de leurs maisons et contractes de leurs
terres plantées des oliviers ou des vignes,
affirmant génération après génération
leur droit du retour à ce qui les ont laissés,
malgré le changement leur arrivé.
Après la Nakba, plus que 200 milles
palestiniens ont été chassés de leurs
terres à Gaza, étant additionnés à un
nombre de la population de Gaza, qui arrivait
à 80 milles population à l'époque, d'ou une
énorme explosion de population à Gaza, dont
la longue arrivait a 40 Km et la largeur à
7-12 Km2; les réfugiés enregistrés ont formé
plus que trois quarts de la population de la
Bande de Gaza, qui veut dire 73%, de l'origine
des réfugies enregistrés à l'UNRWA, selon
les statistique de son agence.
Presque 460.031 milles réfugies vivent dans
des camps, dont le total des réfugies
enregistrés à l'UNRWA, dont leur nombre
arrive a 852.626 milles refugies, comme au
camp de Djabalia, Al-Shate', Al-Nusyrat,
Al-Maghazi, Der Al-Balah, Khan Younes et
RAfah.
Le nombre de camps palestiniens répandus a la
Cisjordanie, la Bande Gaza, les pays arabes
voisins (la Jordanie, la Syrie et le Liban),
est arrive a 69 camps, dont 61 camp
"organisé" (c'est-à-dire que
l'UNRWA y participe à trouver des sources de
vie aux réfugies), par contre 6 ou 7 camps ne
sont pas "organisés"; il est
mentionné qu'il y a quelques camps qui étaient
évacues et fermes.
La Cisjordanie se classe la première parce
qu'elle contient presque 27 camps. Par contre
la Jordanie est considérée le pays qui intégré
la plus grande quantité des réfugies
palestiniens suite aux frontières communes
entre les deux pays et l'unification des deux
Jordanie (orientale et occidentale), depuis le
début des cinquantaines.
Les nouveaux estimations mentionnent que le
nombre de palestiniens à l'extérieur est
arrivé en 2 000 à 4.5 millions habitantsm
dont 2.6 millions en Jordanie , 385.000 en
Liban , 401.1 à Syrie , 57.000 à Egypte ,
545.000 divisés dans les restes des pays
arabes , 223.000 aux Etats-Unis et 284.000 aux
payes étrangères.
En Jordanie il y a dix camps réglés de réfugies
observés par l'UNRWA, qui forment presque
16.5% de la totalité de camps de réfugies
palestiniens. Les camps en Jordanie sont Al
Hassin , Al Wahdat , Al Talabya , Al Zarka ,
Hatten , Arbad , Al Hassan , Gaza, Sof et Al
Baqra.
Prés de 10 % de la totalité de réfugies
palestiniens, recordé à l'UNRWA, vivent dans
la République de Liban et forment environ 11%
des habitants de Liban. Plus de la moitié
habite dans 12 camps ; Marasela , Borj Al
Brajna , Dabya , Sabra et Shatella , Ean Al
Halwa , Al Maya Mya , Al Bas , Al Rashadya ,
Al Rashedya , Barj Al Shamale , Nahr Al Barad
, Al Badaoui ''Balbak ''.
En Syrie, les réfugies palestiniens, dont la
majorité les habitants du nord de Palestine,
sont arrivés, selon les statistiques de 1955,
à 88179 réfugies palestiniens, formant
presque 11 % de la totalité des réfugies
palestiniens recordés à l' l'UNRWA et 4.5 %
de la totalité des habitants de Syrie.
29% des réfugies palestiniens vivent dans
11camps ; Khan Al Cheick, Za AlNoren , Sabena
, Kabr Al Sat Zanab , Jarmana ''Jadman",
Al Narb , Hams , Dara'a Al Tawara , Al Yarmouk
. La majorité des réfugies vive dans la région
de Damas et la reste dans les villes de Hms,
Hama, Halab et dans la ville sud de Da'ra, prés
de la frontière jordanienne.
Les 4.5 millions réfugies palestiniens sont
le grand nombre de réfugies dans le monde
entier qui n'ont pas retourné à leurs terres
depuis 56 ans.
La légitimité internationale
Qui a été dit sur la légitimité
internationale ne sert à rien des réfugies
palestiniens durant les années de 56 du
vagabondage, malgré la décision
internationale de 194 qui a prévue le droit
de retour des réfugies palestiniens à leurs
maisons et à leurs propriétés.
La résolution 194 est adoptée le 11 décembre
1948 par l'Assemblée générale des Nations
unies. Elle décide, à la suite du départ
forcé de centaines de milliers de
Palestiniens :
" Qu'il y a lieu de permettre aux réfugiés
qui le désirent, de rentrer dans leurs foyers
le plus tôt possible et de vivre en paix avec
leurs voisins, et que des indemnités doivent
être payées à titre de compensation pour
les biens de ceux qui décident de ne pas
rentrer dans leurs foyers et pour tout bien
perdu ou endommagé lorsque, en vertu des
principes du droit international ou en équité,
cette perte ou ce dommage doit être réparé
par les gouvernements ou autorités
responsables ".
Sur le droit du retour, un nombre de résolutions
a été prévu comme 2535/ B en 10/12/1969
concerné de la question des réfugies
palestiniens assurant leurs droits du retour.
(article
original, non coriger
gramaticalement)
b) Appel du
département des réfugiés de l'Organisation
pour la libération de la Palestine (OLP)
12-05
Le
responsable Zakariya al-Agha, a appelé le
peuple palestinien à l'extérieur et à l'intérieur
à participer dans la commémoration de la 57ème
anniversaire d'Al Nakba ...
Zakariya
al-Agha. : "Nous ferons retentir une
sirène d'une minute dans toutes nos régions
pour faire part de notre peine à cette triste
occasion", explique pour adresser au
monde un message assurant que le peuple
palestinien insiste sur son droit de retour
selon les résolutions dont notamment la résolution
194 et la légitimité internationale.
Rappel :
La
résolution 194 est adoptée le 11 décembre
1948 par l'Assemblée générale des Nations
unies. Elle décide, à la suite du départ
forcé de centaines de milliers de
Palestiniens : " qu'il y a lieu de
permettre aux réfugiés qui le désirent,
de rentrer dans leurs foyers le plus tôt
possible et de vivre en paix avec leurs
voisins, et que des indemnités doivent être
payées au titre de compensation pour les
biens de ceux qui décident de ne pas
rentrer dans leurs foyers et pour tout bien
perdu ou endommagé lorsque, en vertu des
principes du droit international ou en équité,
cette perte ou ce dommage doit être réparé
par les gouvernements ou les autorités
responsables. "
Dr. Al Agha a critiqué les tergiversations
israéliennes des Conventions de légitimité
internationale et le silence international,
notamment des Etats Unis, en ce qui concerne
l'application des résolutions
internationales concernées par les droits
du peuple palestinien. Il a ajouté que la résolution
194 restait lettre morte à cause du silence
international et de la position américaine
qui supporte Israël.
Il a mentionné que la position américaine
et la lettre américaine de garanties
exprimant que cette position encourageait
Israël à refuser les droits du peuple
palestinien, à continuer l'expansion
coloniale et la construction du mur de séparation
sur les territoires palestiniens occupés.
Il a expliqué que le droit de retour était
en danger et qu'il avait refusé tous les
essais de l'annuler.
c)
Mémoire ouverte sur la
Nakba ...
( Jeudi, 12
Mai 2005 )
Surtout pas
d'illusions sur le redéploiement des forces
d'occupation de la bande de Gaza vers la
Cisjordanie. Ce dit "retrait",
s'il a lieu, le sera selon la stratégie
israélienne. A savoir, transformer la bande
de Gaza en une grande prison, dans laquelle
l'ensemble de la population va être enfermée.
Pendant ce
temps, les autorités d'occupation vont
poursuivre le siège. Elles accentueront
l'occupation de ce qui reste des territoires
en Cisjordanie, par l'agrandissement des
colonies, la construction du mur de
l'apartheid et les mesures d'isolement de la
ville d'al-Quds, ainsi que les campagnes
d'arrestation et le refus de libérer les
prisonniers.
Cette
politique d'agression et d'occupation se déroule
avec le consentement américain sous un
silence de plomb de la part des pays du
Quartette, de la communauté internationale
et avec la complicité des régimes arabes.
La mémoire
de la Nakba et les séquelles douloureuses
laissées dans la conscience collective,
sont une leçon ineffaçable pour le peuple
Palestinien.
Elles sont
une affirmation claire de de sa volonté à
résister jusqu'au recouvrement total de
l'ensemble de ses droits nationaux légitimes
et reconnus.
d)
Position du Centre indépendant de Genève
pour les Droits et Evictions du Logement (COHRE),
12-05
Le
Centre indépendant de Genève pour les Droits
et Evictions du Logement (COHRE), signale que
57 ans de conflit Israélo-palestinien, avait
crée pratiquement une impossible solution de
deux états ceci du à l'accaparation
continuelle des propriété palestinienne, et
au refus du droit des réfugiés palestiniens
de récupérer leurs maisons et leur terres
originales ... par Israël
"Au moment de l'instauration de l'état
israélien en 1948 les Israéliens possédaient
moins de 10 % de terre mais aujourd'hui, ces
chiffres se sont renversés et Israël impose
effectivement son contrôle militaire d'un
bout à l'autre du territoire palestinien en
possédant, utilisant ou contrôlant près de
90% de la terre dedans tous les deux, Israël
et les Territoires occupés.".
"Dans la période de 1948-49, la création
de l'état israélien, a été suivie par plus
de 30 opérations militaires séparées, menées
par les forces israéliennes, conduisant à
l'expulsion de plus de 800.000 Palestiniens et
à la destruction de 531 villes et villages
palestiniens.
"Le vol des terres de Palestiniens par
des moyens légaux et militaires, aussi bien
que les démolitions du logements et
l'application des lois presque racistes par
l'Israël, sont difficile de voir en tant que
n'importe quel que ce soit qu'une forme
cruelle d'extirpation ethnique ", a
signalé le directeur exécutif de COHRE;
Scott Leckie.
L'étude montre comment Israël a employé la
charte de 1954 qui prévient toute
infiltration pour expulser les réfugiés de
l'intérieur (les Palestiniens qui ont quitté
leurs villages mais sont resté en Palestine
et considérés comme absents). Ces absents
ont été définis des envahisseurs et une
fois attrapés, ils seront expulsés de leurs
villages et de leur propre pays.
Le rapport révèle aussi que le gouvernement
israélien a ordonné des lois de terre et
propriété dans les territoires occupés, la
bande de Gaza et la Cisjordanie, qui l'avait
donné pouvoir de contrôler plus de 4 700 Km
carrés de terres dans ces zones. La
construction par Israël du mur de séparation
affecte les villes de Kalkylia, Toulkarem, Jéricho
et les villages d'alentour. A la fin de la
construction de ce mur d'Apartheid le
territoire de la Cisjordanie sera réduit par
15%.
Il a illustré de plus que même si la création
pourrait être négocié, un état palestinien
était possible mais avec difficulté, à
cause de l'insuffisance de la terre et
l'infrastructure disponibles et le manque de
la continuité territoriale.
Ces problèmes sont le
résultat de la présence des centaines de
colonies juives placées stratégiquement,
surtout en Cisjordanie et dans la région de
Jérusalem. Les colonies divisent le
territoire palestinien en enclaves et
diminuent la superficie du territoire.
Sous le plan controversé E-1, la grande
colonie de Ma'ale Adumim devrait être étendue
et intégrée dans un " Métropolitain
Jérusalem ". Cela va fermer hermétiquement
la décision d'Israël de contrôler le Jérusalem-est
et enfoncer le " hearthland "
palestinien, créant un corridor israélien
ininterrompu de la ville de Tel Avive à la
Mer Morte.
http://www.ipc.gov.ps/ipc_new/france/details.asp?name=4586
7-2
Point de vue de Jeff Halper : Un
Etat-prison palestinien ?
The Boston Globe, 11 avril 2005
Qu'il s'agisse de
paix, de droit, de commerce ou d'autres
domaines de la vie, le diable se dissimule
dans les détails. Le cœur du conflit entre
Israéliens et Palestiniens ne porte pas sur
un Etat palestinien. Les membres du
''quartette" de la feuille de route au
Moyen-Orient (Europe, Russie, Nations Unies et
Etats-Unis) sont d'accord sur la nécessaire
émergence d'un Etat palestinien. Ariel Sharon
lui-même, père des colonies et fervent
partisan de l'idéologie du Grand Israël, a
fini par comprendre qu'un Etat palestinien était
nécessaire pour soulager Israël des 4
millions de Palestiniens vivant dans les
territoires occupés. Le problème, ce n'est
donc pas un Etat palestinien mais un Etat
palestinien viable.
La viabilité, qui apparaît dans la feuille
de route, n'est pas un point secondaire. Après
près de quatre décennies de dé-développement
israélien de la Cisjordanie, de Gaza et de
l'est de Jérusalem, les Palestiniens se
retrouvent aujourd'hui avec une terre brûlée.
Une économie exsangue (les Palestiniens, dont
70 % vivent avec moins de 2 $ US par jour,
sont maintenus en vie par les agences
internationales d'aide) ; pas d'agriculture
(depuis 1967, Israël a déraciné ou abattu
un million d'oliviers et de fruitiers) ; pas
de logement pour les jeunes générations
(Israël a démoli 12.000 maisons
palestiniennes depuis le début de
l'occupation et refuse d'accorder des permis
pour en construire de nouvelles).
Deux générations de Palestiniens n'ont
jamais connu la liberté, ont toujours vécu
sous occupation militaire. Elles ont été
brutalisées, traumatisées, sous-formées et
se sont retrouvées avec une bien maigre
instruction et bien peu d'espoir de trouver un
travail. 60 % de la population palestinienne a
moins de 18 ans.
Si l'on ajoute à cette équation le fait que
l'on attend du petit Etat palestinien tronqué
qui émerge qu'il assure également une
infrastructure, des services, des emplois
ainsi que l'avenir des milliers de réfugiés
qui reviendront (Israël refuse, avec le
soutien de Washington, de recevoir le moindre
réfugié en dépit du fait qu'il les a expulsés
en 1948), l'appel récent du Président Bush
à Bruxelles en faveur d'un Etat palestinien
"réellement viable" sonne creux.
Tandis qu'il déclare avec cérémonie
qu'"un Etat composé de territoires éparpillés
ne peut fonctionner", l'accord qu'il
marque avec l'annexion par Israël de ses
principaux blocs de colonies conduit à se
demander où pourra bien se trouver cet Etat
palestinien viable.
On a l'impression que le Président
palestinien Mahmoud Abbas (Abou Mazen) va se
trouver confronté à une nouvelle ''offre généreuse."
A la fin du processus d'Oslo le Premier
Ministre de l'époque, Ehoud Barak, était
supposé avoir offert 95 % des territoires
occupés aux Palestiniens. Ce n'est pas vrai
(le chiffre de 95 % venait d'une proposition
de Clinton acceptée à la fois par les Israéliens
et les Palestiniens mais qui ne s'est jamais
matérialisée). Et même si cela avait été
le cas, Israël n'a besoin que de 5 à 15 %
des territoires occupés pour les avoir complètement
sous sa coupe et confiner les Palestiniens
dans un Etat-prison. Israël pourrait contrôler
les frontières, les déplacements des
Palestiniens, toute l'eau et l'essentiel des
terres agricoles, la région de Jérusalem
(laquelle, en raison du tourisme, représente
près de la moitié de l'économie
palestinienne), l'espace aérien du pays et même
sa sphère de communication. Les Palestiniens
pourraient recevoir 85 à 95 % du territoire
actuel et cependant se retrouver enfermés,
tels des prisonniers, dans une série de
cellules appelées "Etat".
Voici semble-t-il ce qui attend Abbas dans les
prochains mois. L'euphorie créée autour d'un
Abou Mazen ''modéré et pragmatique" au
cours de cette ''ère post-Arafat" est
destinée à l'acculer, à susciter l'attente
de concessions qu'il ne peut absolument pas
faire. Sharon fera son offre généreuse,
comme toujours en coordination avec les Américains
: Gaza plus 60-75 % de la Cisjordanie et une
présence symbolique à Jérusalem-Est. Cela
semble acceptable et, dessiné sur la carte,
un tel Etat paraîtra acceptable, à l'étranger,
à la plupart des gens qui n'ont aucune façon
d'en évaluer la viabilité. Mais cela
cantonnera les Palestiniens dans une entité
fermée, à laquelle Sharon travaille sans relâche,
ouvertement, depuis un quart de siècle. Ce
sera un nouvel apartheid.
Si Abbas dit ''oui", il sera le dirigeant
collaborateur qu'Israël attendait. Il se
passera alors deux choses : Abbas recevra le
Prix Nobel de la Paix (partageant fièrement
la scène avec Sharon et Bush) et il sera
assassiné. S'il dit "non", Sharon
bondira : ''Vous voyez bien?!",
dira-t-il, ''les Palestiniens ont une nouvelle
fois refusé une offre de paix généreuse! Il
est évident qu'ils ne veulent pas la
paix!" Et Israël, soulagé, aura toute
liberté pour étendre son emprise sur les
territoires occupés pour les années à
venir.
Un proverbe chinois dit : "Si quelqu'un
te trompe une fois c'est de sa faute, s'il te
trompe deux fois, c'est de ta faute".
L'offre généreuse, bien que fictive, a déjà
fonctionné une fois. Il est de la
responsabilité de tous ceux et celles qui
recherchent une paix juste et durable de
s'assurer que cela ne se reproduira pas. La
viabilité est le diable qui se cache dans les
détails.
Jeff Halper est
le coordinateur du Comité israélien contre
les démolitions de maisons.
Texte original en anglais : A Palestinian
prison-state? www.boston.com/news/globe/editorial_opinion/oped/articles/2005/04/11/a_palestinian_prison_state/
Traduction : Véronique
Viala