AFPS Nord Pas-de-Calais CSPP |
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N° 131
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Politique internationale
des territoires occupés
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Le Djihad
islamique a précisé qu'elle avait
donné l'ordre, il y a trois jours, de
suspendre l'utilisation de roquettes
"pour permettre un départ
sioniste dans le calme de Gaza " AP 31-07
#
Le président
Mahmoud Abbas fixera par décret la
nouvelle date pour les élections législatives,
a annoncé dimanche le ministre de
l'Information Nabil Chaath. L'objectif
est d'organiser le scrutin le 20 janvier
2006. AP
03-08
Retrait
ou désengagement de Gaza :
Le
roi Abdallah II de Jordanie
rencontre le président Mahmoud
Abbas pour l'assurer du soutien de
la Jordanie au peuple palestinien
pendant cette période", a
indiqué un responsable au palais
royal Jordanien. "Demain, il
aura des discussion de suivi du plan
de retrait de la bande de Gaza avec
Mofaz (ministre de la Défense israélien).
(afp-
11h12) Retrait
israélien. 02-08 #
Le Ministère
a annoncé que les autorités israéliennes
accepteront l'accès aux régions évacuées
aux forces palestiniennes Le
vice-Premier ministre Peres a assuré
que son pays n'avait pas l'intention de
boucler la bande de Gaza après le
retrait. "Les
passages vers l'extérieur sont
essentiels pour la bande de Gaza. Nous
ne pouvons pas nous retirer de Gaza et
boucler toutes ses entrées et sorties 02-08 Rapports
de Nadi al-asir al-filistini #
La situation
se dégrade de plus en plus dans les
prisons israéliennes. Les témoignages
des prisonniers, et notamment des enfants,
montrent que les responsables israéliens
ont décidé de passer outre toutes les
lignes considérées parfois comme rouges,
envers les prisonniers, 05-08.
#
Selon la
Banque
mondiale,
70% des 1,3 million d'habitants de
la bande de Gaza vivent sous le
seuil de pauvreté, et le chômage
y touche 44% de la population
active, tandis que les jeunes âgés
de moins de 18 ans forment 60% de la
population globale. Le
Futur état 03-08 Wolfensohn
préconise de réutiliser les
gravats des maisons des colons israéliens
de la bande de Gaza, qui doivent être
détruites, après le retrait. "La
plupart des gravats (seront)
constitués de ciment et de briques
qui peuvent être réutilisés à
Gaza pour la construction, "je
crois que cette question sera résolue
dans les prochains jours".
01-08
L'occupant
israélien a envahi
la vieille ville a l’aide de
bulldozers israéliens et forçant en même
temps les habitants à quitter la vieille
ville(annoncée comme région
militaire) et établis des barrages
vers les nouveaux quartiers avec
des blocs de ciment. 03-07
Une
forte explosion a endommagé dans la
nuit de mardi à mercredi le domicile du
président du conseil des juges
palestiniens, Zoer Hassourani (ats
- 00:28) village
de Bani
Souhayla
02-08 Des
témoins ont expliqué qu'une explosion
d'un corps étranger, laissée par
l'occupation israélienne, s’était
produite Bilan :
Djafar Al-Najar tué & et
plus de 5 blessés qui ont été
hospitalisés. http://www.ipc.gov.ps/ipc_new/france/details.asp?name=6499 02-08 Selon
les témoins, tard mardi, 2 roquettes sont
tombées sur une maison & ont
explosés Bilan :
Yasser Adnan Ashkar (3ans) & Adnan
Al Shkar tués et neuf
ont été blessés, dont quatre enfants
de Hisham Abdel Razek, un haut responsable
du Fatah et ancien ministre palestinien. L'épouse
d'Abdel Razek a également été blessée. Sderot.
02-08
Mardi
soir, des résistants aurait tiré une
roquette en direction d'un rassemblement
de masse de colons juifs venus protester
contre le retrait décidé par Sharon Cette
attaque n'a pas été revendiqué AP
Bilan : 5
(dont 3 trois jeunes filles) ont été
tués et blessant plus de 22 blessés
(dont 10 grièvement) Selon
les premières informations, le soldat
était en tenue militaire et portait le
couvre-chef des religieux La
place du massacre s'est transformée en
scènes d'affrontements Selon
certaines sources, l'auteur du massacre
est mort lynché et quelques policiers
sionistes sont blessés, ayant essayé
de protéger le tueur. Selon
Reuters : Il
s’agit d'un déserteur de l'armée
israélienne ayant refusé de participer
à l'évacuation des colonies de la
bande de Gaza. Sharon.
a déclaré: "Cet acte terroriste
constitue une tentative délibérée
visant à nuire aux relations entre les
citoyens d'Israël. La terreur entre
civils est la chose la plus dangereuse
pour l'avenir d'Israël et de sa
stabilité démocratique"… Le
gouvernement israélien indique que près
de la moitié des colons de la bande de
Gaza a rempli le formulaire donnant
droit à des indemnités compensatrices.
" Selon une décision prise par le
Comité ministériel pour le Désengagement,
il y a trois sortes de résidents : -
Ceux qui ont demandé leur évacuation
avant la date butoir prévue, le 15 août
2005 : ceux-là verront leurs biens
enlevés, transportés par camion dansla
résidence qu'ils se seront choisie ou
bien stockés dans des containers jusqu’au
31 octobre 2005 au plus tard. -
Ceux qui annonceront leur intention de
quitter la bande de Gaza au plus tard le
16 août 2005 : ils pourront demander de
l'aide au Comité pour le Désengagement
pour évacuer et transporter leurs
biens, mais le coût sera à leur charge
et déduit de l'allocation de transport
à laquelle ils ont droit. -
Ceux qui quitteront les zones évacuées
après la date d'évacuation : il a
finalement été permis que leurs biens
seraient déménagés, contre la loi de
mise en oeuvre du Plan de désengagement.
Mais les équipements qui nécessitent
d'être démontés, ainsi que ce qui se
trouve en-dehors de la maison, ne seront
pas déménagés. Le coût du déménagement
sera à leur charge et déduit de
l'allocation de transport à laquelle
ils ont droit". (communiqué
du cabinet du Premier ministre, 1er août
2005) 7 Dossier
Un
article ci-dessous de Amnon Kapeliouk
qui date un peu mais qui garde toute la
fraîcheur de l'actualité écoeurante
de mensonges que l'on essaie de nous
faire avaler en ce qui concerne le désengagement.
Il ne faut jamais perdre de vue que
Sharon est téléguidé par les idéologues
sionistes qui, eux, sont comme un amiral
à la barre... ils tiennent le
gouvernail du navire. Et le navire des
instances sionistes, que l'on ne voit
jamais sur le devant de la scène,
poursuit son but, toujours le même, la
création du mythique Eretz Israël... Les
dessous du désengagement israélien Après
le décès du président Arafat et la réélection
de M. George W. Bush, nombre de
commentateurs annoncent une relance des
négociations au Proche-Orient. C’est
peut-être aller un peu vite et oublier
que le principal obstacle à la paix réside
dans le refus de M. Sharon d’un
Etat palestinien en Cisjordanie et à Gaza,
avec Jérusalem-Est comme capitale.
Cette stratégie du refus l’a conduit
à élaborer unilatéralement son plan
d’évacuation de Gaza. Avancé
par le premier ministre israélien, le général
Ariel Sharon, le plan de désengagement
qui prévoit le démantèlement des
colonies juives de la bande de Gaza et
qui concerne 7 000 personnes (1)
suscite nombre de réactions positives.
L’opposition travailliste, la Paix
maintenant, et même le parti Yahad,
« père » du pacte de Genève (2),
qui préconise le retour aux frontières
de 1967 avec quelques rectifications
mutuellement acceptées, tous félicitent
M. Sharon pour son « courage »
et sa « clairvoyance ». Une
même approbation s’exprime à l’étranger.
Des dirigeants occidentaux multiplient
les louanges à l’égard du premier
ministre israélien, se réjouissant
d’entendre des mots tels que « démantèlement
des colonies » dans sa bouche.
Certes, évacuer une seule colonie bâtie
sur la terre palestinienne occupée
depuis trente-sept ans serait une grande
première, mais cela fait-il du plan
d’évacuation de Gaza
un plan de paix ? D’une
part, si M. Ariel Sharon était
vraiment sérieux, cette évacuation des
colonies juives aurait été exécutée
en quelques semaines, voire en deux ou
trois mois au maximum. Or, depuis
l’annonce de ce retrait, un an a passé
sans qu’un seul colon quitte la bande
de
Gaza.
M. Sharon traîne les pieds, parle
des « sacrifices douloureux »
consentis par les Israéliens avec le démantèlement
des quelques colonies et... ne fait
rien. En focalisant l’attention sur
Gaza, il retarde d’autant les négociations
fondamentales sur la création d’un
Etat palestinien. D’autre
part, il est évident que la création
de colonies dans cette bande a été un
échec : 7 000 colons à peine
s’y sont installés, alors qu’ils
sont plus de 250 000 en Cisjordanie
(sans compter les 200 000 juifs
installés dans la partie de Jérusalem
occupée depuis 1967). S’ils
monopolisent 40 % des terres et
utilisent 50 % de l’eau, ils ne pèsent
guère face au million et demi de
Palestiniens qui s’entassent dans la
bande. De plus, leur sécurité nécessite
des sommes importantes et la
mobilisation de nombreux militaires, qui
paient parfois de leur vie cette tâche
ingrate. Dans ces conditions, quitter
Gaza n’est pas vraiment un sacrifice
pour Israël. Plutôt un soulagement. Les
manifestations houleuses des extrémistes
et fanatiques de la droite nationaliste,
les menaces de « guerre civile »
en cas de désengagement, ainsi que les
appels des éléments fascisants à tuer
le premier ministre pour sa « trahison »
sont exploités par le gouvernement,
surtout à l’étranger, pour montrer
que le retrait de Gaza se révèle déjà
très difficile et que l’on ne pourra
pas en envisager un autre, en
Cisjordanie, avant longtemps. En
attendant, le processus de paix serait
bloqué « jusqu’à ce que les
Palestiniens deviennent des Finlandais »,
selon l’expression paternaliste du
principal conseiller de M. Sharon,
son émissaire permanent à la Maison
Blanche et surtout son homme de
confiance, l’avocat Dov Weisglass (3).
Celui-ci précise la pensée du premier
ministre : « Le désengagement
représente le formol. Il fournit la
quantité nécessaire de cette solution
pour éviter un processus politique avec
les Palestiniens. » En d’autres
termes : geler les négociations de
paix. Ce qu’il explicite crûment :
« Le processus de paix signifie la
création d’un Etat palestinien, le démantèlement
des colonies [en Cisjordanie], le retour
des réfugiés, le partage de Jérusalem.
Tout est gelé maintenant. » Du
reste, le plan de désengagement précise,
dans son premier point, qu’« en
l’absence d’un partenaire
palestinien pour des pourparlers de paix »,
il faut agir unilatéralement. Cette allégation
est destinée à garder les mains
libres, à ignorer les intérêts des
Palestiniens. Son caractère
colonialiste est patent :
l’occupant choisit non seulement ses
propres délégués, mais aussi les représentants
des occupés. Quant
à la proposition d’organiser un référendum
en Israël sur le redéploiement, elle
revêt le même caractère néfaste. Il
faudrait tout d’abord poser la
question à ceux qui souffrent
quotidiennement de l’occupation et qui
vivent sous un régime d’apartheid réservant
aux colons juifs installés un statut
juridique séparé et bien supérieur à
celui des Palestiniens, en violation de
la quatrième convention de Genève. La
mort subite du président Yasser Arafat
a réjoui M. Ariel Sharon. Le
symbole de la lutte nationale
palestinienne disparu, le premier
ministre espère imposer ses plans aux
successeurs. Ceux qui, comme le Parti
travailliste, espéraient le voir
renoncer à son unilatéralisme – après
la disparition de l’« obstacle »
Arafat – ont été déçus. La mort du
vieux chef palestinien ne signifie pas,
selon M. Sharon, qu’il existe un
partenaire pour discuter de la paix. Et
d’expliquer, au contraire, qu’une période
d’incertitudes s’ouvre, qu’il
n’est pas du tout certain que la
nouvelle direction pourra éradiquer le
terrorisme, en finir avec les
incitations à la violence, accomplir
les réformes en profondeur nécessaires, etc.
En attendant, et pour longtemps, le
gouvernement israélien entend bien agir
de manière unilatérale. L’objectif
essentiel du projet Sharon est destiné,
en plus du gel du processus de paix, à
donner aux colonies de la Cisjordanie,
surtout aux grands blocs, un statut
permanent, afin de les annexer. Le président
George W. Bush n’a-t-il pas
promis au premier ministre israélien,
après la publication du plan de retrait
de Gaza (4),
que, dans le cadre du règlement final,
ces colonies feraient partie de l’Etat
d’Israël ? M. Weisglass (5)
révèle la pensée profonde du premier
ministre : « Et dans quelques
années, peut-être dans des dizaines
d’années [sic !], lorsqu’il y
aura des pourparlers entre Israël et
les Palestiniens, viendra le maître du
monde, il frappera sur la table et dira :
“Nous avons déjà dit il y a dix ans
que les grands blocs des implantations
font partie intégrante de l’Etat d’Israël.” »
Entre-temps, la colonisation continuera,
avec l’espoir de doubler le nombre de
colons en Cisjordanie, ce qui créerait
une situation irréversible sur le
terrain. La création d’un Etat
palestinien indépendant deviendrait irréalisable. Le
désengagement sans coordination avec
les Palestiniens fera de Gaza la plus
grande prison du monde, les geôliers
quittant l’intérieur, mais gardant
les portes. L’armée israélienne
supervisera l’espace aérien et
maritime ainsi que les frontières. Et
l’armée se réserve un droit d’y pénétrer
« pour combattre le terrorisme ». En
fait, si M. Ariel Sharon s’était
opposé au projet de désengagement et
de séparation des Palestiniens évoqué
par son prédécesseur, M. Ehoud
Barak, c’est qu’il restait partisan
d’un grand Israël. N’a-t-il pas,
quelques mois après son élection, en février 2001,
lancé aux élèves lors d’une cérémonie
dans une école à Jérusalem :
« Eretz Israël [la Palestine
historique] tout entière nous
appartient. » Depuis,
il a changé d’avis, car la situation
sur le terrain a évolué. Après son
accession au pouvoir – l’Intifada
s’était déjà installée durablement
–, M. Sharon a tout fait pour la
briser par la force. Toute la société
civile des territoires palestiniens
souffrant de sa main de fer, le premier
ministre s’attendait à une reddition
palestinienne. Mais son plan a échoué.
Pour la première fois dans l’histoire
des guerres d’Israël, l’adversaire
pénètre à l’intérieur de son
territoire et cause la mort de centaines
et de centaines de civils, dans les
villes du pays. En outre, l’économie
nationale, en premier lieu le tourisme,
source essentielle de revenus, est sévèrement
frappée. Le moral de la population
baisse. Les critiques contre le refus de
toute reprise des pourparlers avec l’Autorité
palestinienne et contre les violations
flagrantes des droits de la personne
augmentent. Le pacte de Genève, une
initiative des pacifistes israéliens et
palestiniens (« pire qu’Oslo »,
selon M. Sharon), attire des
sympathisants, en Israël ainsi que dans
le monde, surtout en Occident, où
certaines chancelleries, notamment en
France, ont salué cet engagement comme
une base possible pour de futures négociations. Mais
ce qui inquiète le plus le général
Sharon, ce sont les critiques acerbes de
militaires contre le comportement brutal
de l’armée à l’égard de la
population palestinienne, qualifié de
contraire aux normes humanitaires. Aux
centaines de refuzniks du mouvement Yesh
Gvoul (« Il y a une limite »)
qui ont été envoyés en prison pour
leur refus de faire leur service
militaire dans les territoires occupés,
se sont joints 27 pilotes de l’armée
de l’air, dont le légendaire général
Iftah Spector, vétéran de la guerre de
1967. Ils ont signé à la fin de
septembre 2003 une pétition
condamnant l’occupation qui « corrompt
toute la société israélienne »,
et ils ont refusé de mener des opérations
de « liquidations ciblées »
dans les territoires palestiniens,
« de porter atteinte à des civils
innocents » et « d’attaquer
des zones à population dense ».
Plus tard, treize réservistes,
officiers et gradés de l’unité d’élite
numéro 1 de l’armée, Sayeret
Matkal, ont écrit à M. Sharon
qu’ils ne prendront pas part
« à la négation des droits des
millions de Palestiniens » :
« Nous ne servirons pas de rempart
aux colonies ; nous ne ternirons
pas notre image dans les opérations
d’une armée d’occupation. » Le
comble s’est produit à la mi-novembre 2003,
lorsque quatre anciens chefs du Shin
Beth, au cours d’une table ronde, ont
sonné l’alarme en avertissant que
cette politique « pousse le pays
vers le gouffre ». « C’est
inadmissible », a réagi M. Sharon,
accusant ces quatre anciens responsables
des services de la sécurité intérieure
de créer une atmosphère portant
atteinte... à la sécurité du pays. Le
premier ministre mène alors des
consultations avec ses conseillers pour
chercher à arrêter cette escalade. Il
comprend qu’il lui faut présenter un
projet qui neutralisera le pacte de Genève
en même temps qu’il atténuera les
critiques internes et externes. Des
suggestions sont avancées, comme celle
d’en finir avec l’Autorité
palestinienne ou, au contraire, de
relancer le processus de paix, mais sans
volonté d’aboutir. D’emblée, M. Sharon
rejette toutes ces idées. A
Rome, le 18 novembre 2003, il
rencontre l’émissaire de la Maison
Blanche, M. Elliott Abrams, et lui
fait part de ses inquiétudes. M. Abrams
lui propose alors de reprendre les
pourparlers avec les Syriens. M. Sharon
refuse et évoque devant lui le projet
de désengagement unilatéral de Gaza (6).
Les réactions ne tardent pas et les
dirigeants occidentaux félicitent sans
retenue M. Sharon pour son « courage ». Le
pacte de Genève est mis au placard.
L’opposition travailliste soutient le
premier ministre et fait tout pour
rejoindre la coalition de la droite
nationaliste et religieuse. « M. Sharon
a changé », se réjouissent M. Shimon
Pérès et ses amis, sans formuler la
moindre réserve sur les aspects négatifs
du plan. Aucune critique non plus contre
les crimes perpétrés par l’armée à
Rafah, à Jabaliyya et ailleurs dans les
territoires palestiniens, qui ont causé
des centaines de morts, pour la plupart
des civils, et la destruction de
centaines de maisons, surtout dans les
camps de réfugiés. Les
Palestiniens, eux, ont réagi avec
scepticisme au plan de désengagement.
Ils ne croient pas M. Ariel Sharon.
Le journaliste palestinien, Elias
Zananiri, résume leurs réactions :
« Le plan Sharon ressemble au
poison qui contient un peu de miel. » par
Amnon Kapeliouk Journaliste,
Jérusalem, auteur de Sabra et Chatila,
enquête sur un massacre, Seuil, Paris,
1982. (1)
Et quatre autres, petites, dans le nord
de la Cisjordanie, qui sont à moitié
vides depuis des années. Lire « Des
colons entre rage et résignation
», Le Monde diplomatique, janvier 2001. (2)
Lire Amram Mitzna, « Voilà pourquoi M.
Ariel Sharon a peur », et Qadoura Fares,
« L’accord
de Genève, une fenêtre ouverte sur
l’espoir », Le Monde
diplomatique, décembre 2003 ; et
Monique Chemillier-Gendreau, « Israël-Palestine,
une paix fondée en droit », janvier
2004. (3)
Entretien à Haaretz, Tel-Aviv, 8
octobre 2004. (4)
Discours de M. Bush lors de sa rencontre
avec M. Sharon, à Washington, le 14
avril 2004. (5)
Entretien à Haaretz, 8 octobre 2004. (6)
Haaretz, 13 octobre 2004. Sources
: MONDE
DIPLOMATIQUE Posté
par Adriana
Evangelizt
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Ce texte n'engage que son auteur et ne correspond pas obligatoirement à notre ligne politique. L'AFPS 59/62, parfois en désaccord avec certains d'entre eux, trouve, néanmoins, utile de les présenter pour permettre à chacun d'élaborer son propre point de vue. |
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