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AFPS.jpgAssociation France Palestine Solidarité Nord - Pas de Calais

 

 


Message « Palestine » - 30 mai 2016

http://www.nord-palestine.org/2016-05-30MessagePalestine.htm

(ne pas répondre à ce message, mais uniquement à «contact@nord-palestine.org »)

 

 

 

 

Les sanctions pour Israël à l’ordre du jour

AFPS Nord-Pas de Calais

Lille le 30 mai 2016

 

C’est une série de témoignages extrêmement forts qui ont été donnés à Hellemmes le 23 mai dernier, avec la participation de Nasser Dawabsheh, oncle d’une famille palestinienne victime de colons israéliens extrémistes à Duma, village de Naplouse et dont le bébé fut brûlé vif. Etaient notamment présents des intervenants de Médecins du Monde et de Première Urgence Internationale intervenant à Naplouse. Ils nous interpellent, comme les autorités de notre pays, sur le quotidien d’une population en territoire palestinien occupé et sur la « violence des colons : bras armé l’expansion des colonies ».

 

Ces exactions et crimes à Duma sont recoupés par les informations que nous recevons de Qusra, autre village de Naplouse, les colons s’attaquent ces jours derniers à des constructions réalisées grâce à l’aide des Pays Bas (hier c’était à celles réalisées grâce à l’aide française).

Il y a urgence à agir afin que ceci prenne fin et d’en finir avec l’impunité israélienne.

 

Que cette impunité soit aussi celle d’un système d’oppression qui frappe les prisonniers palestiniens dont de nombreux enfants, ou qui impose un blocus illégal et criminel à Gaza où un nouveau raid israélien vient de sévir, n’est pas tolérable. Le peuple palestinien doit être soutenu  face aux exactions, crimes et violations du droit dont il est l’objet. Les interventions de l’AFPS Nord-Pas de Calais à ces sujets sont en cours. Les autorités nationales, comme les autorités locales, sont interpellées. La Ville de Lille, jumelée avec Naplouse, ne peut rester muette. Elle se doit d’intervenir. Avec ce qu’elle représente, en matière de rayonnement et de solidarité, cela aura du poids.

 

Mais notre association indique aussi que la complaisance à l’égard de l’occupant, encore illustrée avec le voyage en Israël du Premier Ministre Valls, doit cesser. La France doit prendre des sanctions à la mesure de ces violations du droit. Elle en a les moyens.

 

Comme elle a les moyens de mettre fin à la criminalisation de ceux qui répondent à l’appel de 2005 de la société civile palestinienne au Boycott/Désinvestissement/Sanctions contre Israël. Nous défendons la liberté d’expression et le droit au boycott. Nous participons à la semaine d’action décidée par le collectif national.

 

Nous revendiquons le droit de pouvoir, comme citoyen, mettre en cause la politique israélienne, y compris en appelant au boycott, sans être inquiété ou poursuivi par la justice. C’est une question élémentaire de démocratie. On ne nous fera pas taire

 

Nous en discuterons notamment à Villeneuve d’Ascq le vendredi 3 juin à partir de 17 h 30 au local FSU 38 boulevard Van Gogh.

 

 

 

 

 

 

Lundi 23 mai à Hellemmes:

Rencontre-Témoignage avec Nasser Dawabsheh

« Violence des colons: le bras armé de l’expansion des colonies en Cisjordanie»

 

Organisée par AFPS Nord-Pas de Calais

Médecins du Monde

Première Urgence Internationale

Communauté Palestinienne du Nord

avec la participation de Michelle Demessine  >>

 

par AFPS 59/62

 

Participants :

- Nasser DAWABSHEH, l'oncle d'Ali DAWABSHEH

- Daoud ABOUCOUTHEILEH, travailleur social de Médecins du Monde à Naplouse

- Mahmoud ISLIM, coordinateur de terrain de Médecins du Monde à Naplouse

- Anne-Sophie SIMPERE, coordinatrice du plaidoyer pour Médecins du Monde en Palestine

- Patricia GRILLO, chargée de plaidoyer de Première Urgence Internationale dans le Territoire palestinien occupé

- Mohammad SALEM, responsable de la Communauté Palestinienne du Nord et de PalMed-Europe

- Michelle DEMESSINE, Vice-présidente du groupe d'Amitié Franco-Palestinienne au Sénat

- Jean-François LAROSIERE, président de l’Association France Palestine Solidarité Nord-Pas de Calais

 

 

Michelle Demessine commence par souhaiter la bienvenue à la délégation arrivée de Palestine pour témoigner de la violence des colons israéliens, violence multipliée par quatre depuis 2006. Ce groupe sera reçu à Paris par le Sénat et l’Assemblée Nationale ainsi qu’à Bruxelles.

 

Jean-François Larosière, pour l’AFPS 59/62, déclare que nous sommes rassemblés en faveur du peuple palestinien par la nécessité de récolter des nouvelles de Naplouse et sa région grâce à cette rencontre-témoignage avec des Naplousi eux-mêmes pour trouver une réponse à leur situation actuelle.

 

Nasser Dawabsheh prend la parole en premier et après nous avoir remerciés, il évoque le drame vécu par la famille de son frère Saad à Douma, leur village, proche de Naplouse, le 31 juillet 2015. Après avoir veillé ensemble, Saad, sa femme Riham et leurs 2 enfants, Ali 18 mois et Ahmad 5 ans sont rentrés chez eux vers 1h du matin. Une demi-heure plus tard, leur maison était en feu : des colons avaient jeté des bombes incendiaires dans leur chambre. Tandis que Saad s’occupait d’Ahmad, Riham affolée a emporté la couverture d’Ali sans s’apercevoir que son fils n’y était pas… Ali en est mort ainsi que ses deux parents quelques jours après. Seul Ahmad a survécu, mais brulé à 65% il aura besoin de 10 ans de traitement. 130 personnes peuvent témoigner de ce qu’il s’est passé.

Nasser réclame sécurité et protection pour la population palestinienne désarmée exposée aux colons israéliens armés, menaçants, racistes, dangereux. Il réclame l’arrêt de la colonisation entreprise par Israël dans les Territoires palestiniens car c’est cette colonisation qui est responsable de cette violence. Il se considère comme l’ambassadeur de la douleur du peuple palestinien et non pas comme l’ennemi de qui que ce soit. Il n’est pas contre les juifs en tant que tels, mais comme toutes les victimes dans le monde entier, il condamne tous les actes terroristes et accuse les agresseurs car ses valeurs sont celles de l’humanité toute entière.

 

Michelle Demessine assure à Nasser notre solidarité et notre détermination à réagir, là où nous sommes, pour que cesse cette barbarie et que le peuple palestinien puisse vivre en paix.

 

Daoud Aboucoutheileh a un rôle de psychologue dans la structure de Médecins du Monde à Naplouse : il s’occupe des victimes des colons (traitement de première urgence et soutien psychologique) et des destructions de maisons. Il nous expose les effets des crimes et des agressions des colons israéliens sur la population palestinienne : nervosité, angoisse, inquiétude. Il s’ensuit des déséquilibres dans les familles : on veille la nuit, on interdit aux enfants de sortir, les pères sont plus nerveux, la tension monte dans la famille, les enfants sont tendus en s’attendant à de nouveaux événements, il  se disputent et les ados dissimulent leur angoisse… ce climat se répand en dehors du cadre familial  dans toute la société. Par exemple dans le village de Jalloud, une femme qui habite près d’une colonie, imagine constamment que les colons la guettent derrière  sa fenêtre…

Pour alimenter ce climat d’occupation menaçante, les colons israéliens investissent les villages palestiniens et s’y pavanent avec leurs armes. Ils ont un rôle dans la confiscation des terres des paysans palestiniens. Daoud parle du village de Qusra où les colons tourmentent les villageois dans leurs champs d’oliviers. Mais les paysans restent solidaires et font face.

Quand l’armée israélienne alertée intervient, c’est toujours pour prendre le parti de colons et les « protéger » en tirant des balles réelles et des bombes lacrymogènes sur les villageois…Telle est la situation en Cisjordanie et  Médecins du Monde intervient pour aider et soutenir les gens.

 

Anne-Sophie Simpère nous explique que Médecins du Monde est présent en Palestine depuis 1996 en ce qui concerne la violence des colons et les démolitions produites par les Israéliens (depuis le 1er janvier 2016, 600 structures palestiniennes ont été démolies par les Israéliens, ce qui a déplacé 900 personnes).

La violence des colons qui est permanente, cause des problèmes de santé publique car les gens sont dans une situation constante de peur d’être attaqués, ce qui amène des traumatismes à répétition. 25% de la population devrait profiter de services de santé mentale car les gens sont de plus en plus profondément affectés. Les attaques de colons sont répétitives car totalement impunies : il y a 1,9% de « chances » qu’un colon fautif soit sanctionné (à condition déjà que la victime palestinienne ose porter plainte contre les colons). Car la grande différence entre les individus est que les colons (israéliens) dépendent du droit civil israélien tandis que les habitants palestiniens dépendent du droit militaire. Pourtant Israël est la puissance occupante et a le devoir de protéger la population autochtone selon les conventions de Genève et la société internationale a elle aussi le devoir de faire appliquer ces conventions par des pressions si nécessaire !

 

Patricia Grillo nous explique que les Israéliens (les colons en l’occurrence) s’attaquent aux moyens de subsistance de la population palestinienne, c’est à dire la culture et l’élevage ; par exemple 100.000 personnes vivent de la culture de l’olivier en Palestine. Les agissements des colons mettent donc la sécurité alimentaire des Palestiniens en péril sans parler de leur impact global sur l’économie palestinienne. Les colons cherchent à ce qu’à la longue les villageois abandonnent leurs maisons et leurs champs pour les confisquer, c’est pourquoi Première Urgence Internationale agit pour assurer la protection des habitants et occuper le terrain pour que la population reste sur place. PUI fait aussi de la prévention pour prévenir et empêcher les déplacements forcés. Par exemple, 6.700 palestiniens de Hébron ont dû partir à cause de la violence des colons à leur encontre.

Le contexte général dans les territoires occupés par Israël est celui de l’expansion des colonies : de 2002 à 2014, la population des colonies israélienne a augmenté de 23% c'est-à-dire deux fois plus que la population israélienne sur le territoire israélien. Il y a 14600 colons supplémentaires chaque année. De 2014 à 2015 il y a eu 40% de constructions supplémentaires dans les colonies. Ceci a conduit à un changement démographique du territoire palestinien ainsi qu’à sa fragmentation car le plan de construction israélien fait se relier entre elles les diverses colonies pour former des blocs et ainsi couper la Cisjordanie en 2,…

Elle ajoute que la violence des colons est dénoncée… dans le déclaratoire, alors qu’il faudrait le faire par des actes et ceci est de la responsabilité des états liés par le Droit international.

 

Dans la discussion qui suit avec l’auditoire, sont évoqués :

 

-          les comités de défense qui se sont formés dans certains villages (mais les villageois n’ont pas d’armes et risquent d’être arrêtés et détenus par l’armée)

-          l’Autorité palestinienne incapable de protéger la population face à l’occupant

-          le partage en zones A, B, C par les accords d’Oslo violé régulièrement par l’armée israélienne à Naplouse et ses villages. Ces "accords" sont devenus une fiction

-          la présence de citoyens français parmi les colons israéliens

-          les enfants palestiniens travaillant dans les colonies

-          la combinaison colons/armée/gouvernement israéliens dans la poursuite du nettoyage ethnique de la Palestine commencé en 1947 et qu’Ilan Pappé décrit dans ses livres. Le meurtre de la famille Dawabsheh que nous dénonçons ce soir en fait partie, 69 ans après…

-          la politique actuelle d’extension des colonies et d’agressions permanentes qui fait partie du projet sioniste

-          la situation de Gaza assiégée depuis 10 ans

 

Michelle Demessine livre ses conclusions de la soirée: « Comment accepter une telle situation ? Qui en est responsable sinon la Communauté Internationale dont les décisions ne sont ni appliquées ni respectées ? Pourquoi Israël ne respecte t’il pas le droit international, sinon à cause de la mollesse de cette communauté et son alignement sur la politique étasunienne ? »

 

Pour l'AFPS Nord-Pas de Calais, Jean-François Larosière, alors que la visite de Manuel Valls en Israël a été évoquée, se réfère au communiqué national du 19 mai 2016 de l'AFPS « L'initiative française malmenée » qui affirme: « L'idée de base de l'initiative française, malgré de sérieux manquements, est juste dans la mesure où elle permet de sortir du face à face inégal occupant-occupé. De cela, il est malheureusement clair que le gouvernement israélien ne veut pas et qu'il faudra d'une manière ou une autre l'y contraindre. »

Il précise la nécessité de sanctions, par exemple relatives à l'application de l'article 2 de l'accord Union-Européenne/Israël de 2002 qui doivent conduire immédiatement à sa suspension. Il indique l'engagement de l'association pour répondre à l'appel palestinien de 2005 dans le Boycott/Désinvestissement/Sanctions contre Israël.

Il souligne également la nécessité d'interventions concrètes de solidarité avec le peuple palestinien à Naplouse : interpellation des autorités françaises nationales (questions écrites de parlementaires par exemple), interpellation de la municipalité lilloise jumelée avec Naplouse et mobilisation pour la construction d'un accueil à destination de la petite enfance à Qusra.

Ce travail militant pourrait être développé sur la base de l'étude : "Violence des colons: un bras armé de l'expansion des colonies dans le territoire palestinien occupé. Etude de cas du Nord de la Cisjordanie" écrit et distribué par Médecins du Monde et Première Urgence Internationale.

 

Un merci spécial au docteur Mohammad Salem, représentant de la Communauté palestinienne du Nord, qui a accepté de se transformer en interprète !

 

 

 

 

 

 

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Lundi 23 mai 2016 à Hellemmes

De gauche à droite :Mahmoud Islim, Anne-Sophie Simpère, Patricia Grillo,Jean-François Larosière, Michelle Demessine,Nasser Dawabsheh, Mohammad Salem, Daoud Aboucoutheileh

 

 

 

 

 

 

L’occupant ordonne la destruction de plusieurs biens à Qusra

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Le 27 mai 2016

Traduit par Elsa Grigaut

 

Mardi 24 mai, l’occupant israélien a délivré de nouveaux ordres de destruction et de confiscation aux habitants de Qusra.

Pour le moment, trois puits ainsi que trois bâtiments agricoles, situés au sud du village, sont concernés.

Il semblerait que l’occupant ait également ordonné que soit stoppée la réhabilitation d’une route de trois kilomètres, située dans la même zone.

Quatre paysans sont directement concernés par cette menace : Hussein Mahmoud Hassan, Farid Ali Hassan, Tariq Hussein Abu Rida, Raed Musa Daas.

Dans les documents officiels émanant de l’occupant, il est stipulé que les quatre hommes ont quarante-cinq jours pour prouver qu’ils sont les propriétaires des biens dont il est question et s’ils n’y parviennent pas, si l’occupant ne reconnaît pas les titres de propriété, les paysans doivent détruire eux-mêmes l’objet de l’ordre sous peine d’une amende.

 

Il est à noter que la zone sud du village de Qusra est très régulièrement, voire quotidiennement, la cible de l’armée et des colons israéliens.

 

AbdelatheemWadi, maire de Qusra, et les habitants ont initié un nouveau projet il y a quelques années afin de lutter contre l’expansion des colonies et le vol des terres par le gouvernement israélien : construire des bâtiments agricoles et des puits sur l’ensemble les terres du sud du village, c’est-à-dire, celles qui sont les plus souvent exposées à la violence des colons.

De cette façon, les habitants espèrent contrecarrer l’argument israélien prétendant que chaque terre en jachère (réellement ou non) revient à l’occupant. Une autre disposition, héritée comme la première de l’Empire ottoman, prévoit que si un paysan (un colon) cultive une terre non enregistrée durant sept ans, celle-ci lui revient. Donc si l’armée israélienne empêche les paysans palestiniens d’accéder à leurs propres terres pendant sept années, il est ensuite aisé de les donner aux colons. 

La construction de bâtiments sur les parcelles de terres est aussi un frein à l’implantation de nouvelles colonies ou à l’extension de celles déjà existantes autour du village. Car il est plus compliqué de voler une terre à la fois cultivée et habitée.

 

Ces bâtiments agricoles, ces puits ainsi que la route ont été financés avec l’aide de différents organismes internationaux, notamment par le gouvernement néerlandais et la Fondation de secours international.

 

 

 

 

 

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Le village de Qusra

 

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Les Forces d’Occcupation Israéliennes à Qusra

 

 

 

 

 

 

Boycott

Liberté pour l’action citoyenne

 

 

Réunion-débat

Vendredi 3 juin 17 h 30 / 19 h 30

Local FSU 38, boulevard Van Gogh

A Villeneuve d’Ascq

 

 

Avec la participation de Jean-Cristophe Duhamel

Docteur en droit

Ingénieur de Recherche Université de Lille II

 

 

 

Le Collectif national pour une paix juste et durable au Moyen Orient a décidé d’une semaine d’action pour la défense des libertés et du droit au boycott.

 

Les droits du peuple palestinien sont constamment bafoués par Israël. Le moyen pacifique de dénoncer ces violations est de répondre à l’appel au Boycott/Désinvestissement/Sanctions (BDS) contre Israël lancé en 2005 en Palestine. Cet appel est relayé par les Israéliens anticolonialistes et de hautes personnalités en France et dans le monde.

 

En France des militants sont poursuivis et condamnés pour pratique du boycott citoyen. La liberté d’expression est mise en cause, comme le droit au boycott. Au cours de cette rencontre nous ferons le point sur le droit au boycott comme sur les actions à développer pour le faire respecter.

 

 

Premiers signataires : AFPS Nord-Pas de Calais,  FSU Nord-Pas de Calais, SNESup, AFPS Villeneuve d’Ascq, FERC Sup-CGT, BDS France, Communauté palestinienne du Nord,

 

 

 

 

 

AGENDA  (http://www.nord-palestine.org/agenda.htm)

 

Du lundi 30 mai au dimanche 5 juin :

Semaine nationale d’action

pour la défense des libertés, du droit au boycott, du droit à la solidarité >>

 

Vendredi 3 juin, à 17h30 au local FSU, 38 boulevard Van Gogh à Villeneuve d’Ascq:

Réunion-Débat « Boycott-Liberté pour l’action citoyenne » avec Jean-Christophe Duhamel >>

 

Samedi 4 juin à 15h, Grand Place à Lille :

Rassemblement pour le droit au boycott

Samedi 4 juin, à 11h, Maison des Associations Internationales, rue Washinston à Bruxelles :

Conférence de l’Alliance européenne pour la défense des prisonniers palestiniens >>

Samedi 18 juin, à 15h, à la MRES à Lille :

Assemblée Générale de l’AFPS 59/62

Du jeudi 7 au mercredi 13 juillet à Paris :

Festival « Palest’In & Out 2016 » de la nouvelle scène artistique palestinienne >> et >>

Organisé par l’Institut Culturel Franco-Palestinien

 

 

 

Venez renforcer l’AFPS Nord-Pas de Calais :

Bulletin d’adhésion pour l’année 2016 à imprimer :

http://www.nord-palestine.org/bulletin_adhesion.htm


 

 

 

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