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Est-que Dexia
prendra les Nations Unies au sérieux lors de son Assemblée Générale ? Communiqué de presse
d’INTAL Bruxelles 13 mai 2014
Lisez ici le rapport de Richard Falk Les questions
sont basées sur les éléments suivant développés par le Rapporteur Falk dans
son rapport : 1. Étant donné que la Belgique
a signé la convention de Genève, et que Dexia Israël ne respecte pas
l’article 49 (6) de cette convention, la Belgique manque à son devoir de
faire respecter ces conventions (p.15 du rapport) 2. Le Rapporteur Spécial
constate que Dexia Israël porte atteinte aux droits de l’homme. Étant donné
que le gouvernement belge est actionnaire prioritaire, la Belgique doit faire
les démarches nécessaires pour éviter ces activités et/ou punir les
responsables de ces faits au sein de Dexia Israël. (p. 15-16) 3. Richard Falk critique
également Dexia parce que celle-ci s'est retirée du Global Compact, un
instrument d’autorégulation au sein des Nations Unies dont Dexia SA était
membre. C’est d’autant plus étonnant que Dexia SA s’est retirée en avril
2013, après que le gouvernement belge en soit devenu l’actionnaire principal.
(p.16) 4. Le Droit Pénal
International doit également être d’application, selon M. Falk. La Belgique
fait partie de la Convention de Rome qui stipule que les citoyens belges
tombent sous la juridiction de la Cour Pénale Internationale. La Cours Pénale
pourrait donc enquêter pour voir si le personnel de Dexia n’est pas impliqué
dans des crimes de guerre. (p. 16-17) 5. L'État Belge pourrait
également être tenu pour responsable des dégâts causés par sa banque, Dexia
SA. Cela pourrait éventuellement aller jusqu’au versement de compensations et
de dommages de guerre. (p. 17)
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