Les colons juifs:" les chats siamois" de la société israélienne
Exclusivement
au Centre International de Presse
GAZA.
23-Novembre-2004
Le mouvement colonial vers les terres
palestiniennes s’est déclenché des l’établissement de l’Etat
d’Israël sur de grandes parties des terres de la Palestine
Historique de 1948. Et a la suite de l’envahissement de ces terres, et
le transfert global des juifs vers les terres palestiniennes a fait
revivre la politique raciste de la part du mouvement sioniste des années
40 et 50 pour rétablir la répartition des zones ou faire disparaître
leur aspect arabe récemment bâti dans le but d’annuler le vide géographique
qu’a laisse l’un million des palestiniens qui ont fui la zone tout en
encourageant le transfert des juifs pour envahir plus de terre.
Et d’après le
quotidien Harets, le programme de la judaïsation des terres est bâti sur
l’idée que cette terre concerne seulement les juifs. Ce programme a
beaucoup évolué en précipitant la construction des logements et en accélérant
le transfert des juifs vivants à l’étranger pour rejoindre cette terre
et pour annuler/effacer toute trace arabe.
Même la langue hébreu
a connu un nouveau lexique dans le but d’encourager ce transfert connu
sous le pseudonyme de “Tkhoum”(qui signifie le domaine) qui devint le
support du projet sioniste; et ce genre de colonies sont con sidérées
l’un des plus grands projets sionistes, et les villages agricoles coopératifs”
surnommes “Kibouts Tkhoum sont devenus l’exemplaire de tout projet
sioniste constatant que la langue hébreu a connu un nouveau lexique tel
que “Eliat Karka’a ce qui signifie l’évasion de la terre; Guiolett
Kaka’a qui signifie la libération de la terre; Hiwichoufout ou
Hitenhalott (des termes religieux provenant de Toratt et qui encourage la
colonisation sioniste) “Kiboush Hashama” (l’évasion du désert),
Hajeshma (la réalisation) et qui signifie l’établissement des Tkhoums,
tout cela a permis l’envahissement de vastes terrains palestiniens en
raison de la concrétisation de la nationalité juive.
Et à partir des
programmes scolaires, de la littérature, des discours politiques, de la
musique populaire et d’autres moyens, les juifs ont pu adapté la société
au programme siono-juif qui appelle à l’élargissement de la terre
juive vue la poursuite de la colonisation des terres dans le but de
constituer la Nation sioniste même après la constitution de l’Etat
juif….en tenant compte de ce qu’ils considèrent leur droit absolu de
revenir sur la Terre Juive qu’ils ont confirmé avec les lois établis
par l’Etat d’Israël.
***La colonisation et
les terres palestiniennes:
Le projet colonial juivo-sioniste s’est développé surtout après
l’établissement de l’Etat d’Israël dans le but d’anéantir la
nationalité arabe du pays dominé et de soumettre les terres
palestiniennes sous l’autorité israélienne, en imposant d’une
part le mandate militaire et en empêchant l’épanouissement socio-économique
tout en imposant le contrôle total sur la représentation politique et le
plus important l’envahissement des terres palestiniennes.
L’époque qui précède l’an 1948, les juifs n’occupaient que
7 à 8% des terres palestiniennes, et les 10% étaient sous la
colonisation britannique; mais l’état colonial a poursuivi son projet
colonial pour atteindre 92% des terres palestiniennes, et la grande part
des terres envahies fut celle des réfugiés palestiniens en plus de
l’un tiers qui fut confisque des propriétaires qui ont choisi de résister
et de ne pas quitter leur terres qui ne représentent actuellement que
16%.
Au cours des années 50 et 60, la pyramide du transfert des juifs
vers la terre palestinienne a connu une montée suite à la création de
plus de 700 colonies dans le but d’imposer l’infrastructure de la société
juive qui ne cesse d’être nourrie par ceux qui arrivent de tout bord,
ce qui multiplia la présence des colonies, surtout autour des villages
palestiniens que sa population devint une minorité, coincée dans des
ghettos.
*** La colonisation et
son reflet sur la société
israélienne:
La concentration sur les projets Tkhoum” a causé un désaccord
au sein de la société israélienne surtout que la nature de ce projet
colonial est devenu de nature raciale/ségrégative repartie en trois
principales étapes; la plus grave est la troisième qui a connu naissance
au cours des dix dernières années en croyant a peu près 150 petits
projets civils connus sous le nom du “projet de la société” ou
“les colonies privées” (Yachoufim K’hilatim) se situant tout près
de la Ligne Verte présente en tant qu’un nouvel effort pour la judaïsation
des “Tkhoums” d’Israël qui a été légalisé sous prétexte de la
“Sécurité Nationale” et “La menace des arabes” aux terres israéliennes,
alors qu’en Cisjordanie, le prétexte est le retour aux zones anciennes.
La démocratie raciale
des colonies:
La colonisation sioniste a reparti avec le soutien de l’Etat hébreu
l’établissement des colonies selon une politique raciale en poursuivant
une série de mécanisme qui garantit non seulement la séparation entre
arabes et juifs, mais dans le
but de créer des clans selon les catégories sociaux juives selon les
races; et ce mécanisme a compris la ségrégation entre les gouvernorats
locaux et les frontières des districts éducationnels, en fournissant des
services gouvernementaux dispersés et illégaux (surtout ceux qui
concernent l’éducation et l’habitat) en plus de la répartition des
terres qui s’est faite selon la mentalité des races,des groupes, des
nationalités.
Cette politique bâtie sur des bases politiques, géographique et
raciale a poussé certains écrivains critiques surtout ceux qui sont israéliens
d’une façon exceptionnelle à traiter le sujet et lancer des analyses
qui portent sur la politique de l’état en tant que démocrate, tout en
préférant l’intituler democrato-raciale en indiquant la répartition
des forces selon la source raciale.
Même la ligne verte reste insignifiante puisque un bon nombre
d’israéliens sont résidents de la Cisjordanie, à Jérusalem occupé
et au district de Gaza, notant que la loi israélienne protégera chaque
colonie juive implantée sur les terres palestiniennes et de la sorte
cette ligne verte ne détermine pas réellement les frontières israélo-palestiniennes.
***
L’invasion…coloniale jusqu’à nos jours:
L’invasion colonial accompagnée de l’évacuation des indigènes
est l’un des supports de la politique de l’Etat d’Israël depuis
1948 après avoir obligé un million de palestiniens a peu près de
quitter leur domiciles en plus de la liquidation de 13 milles d’entre
eux suite aux massacres exécutés par les soldats israéliens ce qui a
donné à l’événement le nom de Catastrophe quand
Israël a envahi 78% des terres de la Palestine en rasant 500 villages de
la carte géographique palestinienne.
Apres la guerre de 1967, et à la suite de la colonisation israélienne
des 22% des terres restantes, Israël a connu une grande pression pour
quitter ces terres, surtout qu’une bonne partie des israéliens ont
constaté que l’occupation de ces terres risquent de menacer la sécurité
nationale israélienne; et malgré leur retirement, les différents
gouvernements israéliens n’ont cessé d’agrandir les colonies d’une
façon continue.
** Le général Ariel
Sharon, commandant en chef de la zone sud, a décrit la stratégie qu’il
a juge de bonne au cours d’un entretien:” …j’ai voulu qu’il y
ait une colonie entre Gaza et Deir el Balah; une deuxième entre Deir el
Balah et Khan Younés, une troisième entre Khan Younés et Rafah, une
quatrième à l’ouest de Rafah, et si nous voulons maîtriser la
situation dans cette zone, certainement qu’on a besoin d’une présence
juive actuellement, sinon, il n’y a plus de raison pour notre présence
dans la zone aux moments difficiles.”
Apres les sept années qui ont succédé le processus d’Oslo
effectue en 1993, Israël a dédoublé le nombre des colons de (200)
milles a (400) milles en Cisjordanie, même à la suite de l’arrivée de
l’Autorité Palestinienne, Israël a crée des routes coloniales autour
des colonies installées dans le but de les lier l’une a l’autre,
isolant ainsi les territoires remis à l’Autorité Palestinienne, l’un
à l’autre en interdisant aux palestiniens leur accès, en plus des
terrains proches, en s’étendant à 100 kilomètres des routes
coloniales; les FOI ont mis la main sur 10 milles dounoms de territoires
palestiniens endommageant toute maison et tout arbre qui les coïncident.
La « feuille de route », présentée en mai 2003 par
les USA, a suggéré aux israéliens d’arrêter le programme colonial y
compris ce qu’ils appellent “la croissance naturelle” et leur ont
demandé de décortiquer plus de 100 noyaux coloniaux crées depuis mars
2001.
Mais en réalité, Israël a admis le projet qui nécessite l’élargissement
de la colonie de Gaza sous prétexte de la croissance naturelle, et Ariel
Sharon a permis la décortication des noyaux coloniaux non autorisés au
nombre de 10 établis jusqu’a août 2003 et qui n’étaient que de
simples caravanes vides prétendant
qu’il s’agit de “douloureuses concessions”, pour faire croire à
la communauté internationale qu’Israël est toujours prête à garantir
la paix.
En Juillet 2003, Sharon a réclamé à son gouvernement que la
construction des colonies doit se poursuivre mais discrètement, et d’un
autre coté, le mur de séparation établi par l’Etat d’Israël ne
fait qu’encercler /entourer les colonies juives pour les entamer à l’état
d’Israël; et une fois les projets accomplis, il englobera 60% des
terres de la Cisjordanie pour les faire joindre aux terres israéliennes
ou plutôt à l’état d’Israël.
***Pourquoi les israéliens
déménagent-ils vers les colonies???
Un grand nombre d’israéliens extremis déménagent vers les
colonies pour des raisons qui tiennent a la religion, prétendant que ces
terres font partie de l’héritage d’Israël ou du “Grand Israël”,
et d’après leur interprétation aux textes saints, Dieu a promis la
Terre de la Palestine aux ascendants d’Abraham; et d’après les
groupes de “Goush Amonim” ou ce qu’on appelle “la masse des
croyants”, la colonisation de la terre est un devoir saint.
Et malgré tous ces prestes, on constate que la majorité des
colons viennent habiter ces colonies pour des raisons économiques puisque
l’état offre un logement de luxe a bas prix en plus des primes et des
prêts sans intérêt, ce qui attirent les nouveaux arrivés de façon
exceptionnelle; et d’après les textes de lois israéliens qui
concernent le “retour”: à tout juif qui décide de rejoindre le pays
le droit de profiter d’un logement à Israël et de la citoyenneté.
En août 2003, et d’après un article publié au quotidien hébreu
Idiot Ahranot, Sharon a décidé le transfert plus de colons au Ghor de la
Cisjordanie ou les récemment mariés jouiront de logements gratuits à
condition d’y passer au moins quatre ans et profiteront d’un don de 2
700 dollars s’ils ont réussi à trouver un métier dans la zone; ceci a
beaucoup encouragé la croissance démographique rapide des colonies, et
l’une des plus vastes colonies “Maale Adoumim” ou résident 30
milles colons, entre autre les israéliens présentent un plan d’établissement
de 3 500 nouveaux logements qui seront consacrés à 15 milles personnes
d’ici 2008.
Et les plus extrémistes des colons ceux qui résident à la ville
d’Hébron et qui comptent de 450 colons sont sous la surveillance de 1 500
soldats vivants parmi les citoyens palestiniens de nature conservatrice
dont le nombre est de 130 milles personnes; notant que cette ville est le
plus souvent soumise au couvre-feu d’un pourcentage de 55% des journées
entre juin 2002 et août 2003, ce qui paralysa la vie économique et éducationnelle
des palestiniens.
La circulation des colons armés dans les rues désertes de la
ville compliquent la situation des citoyens et empêchent les commerçants
d’ouvrir leurs boutiques craignant la provocation de ces colons qui
s’emparent des biens de ces commerçants; c’est l’un des moyens
qu’utilisent les colons juifs pour obliger les palestiniens à quitter
les lieux.
*** Les différents genres de colonies:
Il existe deux genres de colonies: des colonies agricoles presque
habités et d’autres d’habitation de luxe; la majorité d’entre
elles s’installent isolées sur les hautes montagnes, découvrant ainsi
les villes palestiniennes, se liant à son entourage par un réseau
routier.
Le journaliste israélien, Jedou’n Levy a bien su décrire la réalité
atroce de ces colonies de sorte qu’on peut couvrir/voir de tous les
cotes chaque colonie puisque chacune d’entre elles s’installe au
sommet d’une montagne et parait immense et menaçant les terres et
agglomérations menaçantes, telles que les colonies “Ghonim” et
“Kadish” à Jénine, “Besgoth” a Ramallah, “Ariel” a Salfit,
“Alon-More” sur les terres du camp d’Askar
au gouvernorat de Naplouse, “Maale-Adoumim” qui s’étend sur
les terres d’Aizariya” au gouvernorat de Ramallah, “Bitar Elit”
sur les terres de Nahaline, “Barakha” sur les terres de Bourine a
Naplouse: toutes sont étranges, menaçant d’avaler plus de terres
palestiniennes.”
L’alliance des colonies devient très remarquable constituant
ainsi des zones coloniales au fond des territoires palestiniens occupés,
et l’une des plus grandes est celle qui s’étend à l’Est de Jérusalem
autour de colonie d’Ariel et qui s’installe sur le plus grand réservoir
d’eau en Cisjordanie, et l’Etat d’Israël a consenti….que cette
colonie fait partie des terres israéliennes une fois entourée du mur
d’Apartheid qu’il nomme Mur de Sécurité.
Alors que les agglomérations palestiniennes se trouvent privées
de leur émancipation naturelle, et les citoyens palestiniens se trouvent
prives du déplacement entre ces différentes agglomérations et ce
qu’essaient les FOI d’imposer de jour en jour….
Le quotidien britannique “The Guardian” a parlé en 2001 de
l’immense contradiction entre les colonies de la Bande de Gaza et les
agglomérations palestiniennes voisines en citant:”Il n’y a pas de
plus dur que cette flagrante contradiction entre ce deux genres d’agglomérations,
à l’intérieur des colonies, les gens vivent dans des chalets de luxe
au plafonds goudronnes, entoures de terrains bien arroses, il y a aussi
des centres sociaux, des piscines et des terrains de culture maraîchère
dont profitent bien les colons; mais le monde palestinien à l’extérieur
jouit d‘une grave sécheresse, d’étroits impasses entasses de
charrettes tirées par les ânes ou les enfants, notant que le nombre des
habitants a atteint à Khan Younés actuellement (200) milles personnes,
ne profitant guère d’une réelle infrastructure (sans égouts,
ramassant les déchets domestiques et durs au moyen d’un camion pour
s’en débarrasser à la suite à quelques centaines de mètres de
l’agglomération .
*** Semer “la culture de l’agression”:
Avec leur esprit dictateur qui part de l’idée que la terre
palestinienne est la leur, les colons se permettent couramment
d’agresser les villageois palestiniens dont les villages côtoient les
colonies dans le but de les obliger a quitter les terres pour y mettre
leur main d’une façon illégale; ce fut le cas de plusieurs scènes
pour a la suite s’emparer des terres.
D’après le rapport de Beit Salem des droits de l’Homme aux
territoires palestiniens, depuis Septembre 1987 et jusqu’a Décembre
2002, les colons ont tue (138) palestiniens sur les territoires occupes,
entre autre 25 enfants, notant que 2 500 ont été tues par les FOI depuis
Septembre 2 000.
Beit Salem a signalé aussi que la police israélienne protégé
bien les colons et traite l’affaire d’une certaine nonchalance sachant
que ses derniers perturbent souvent la vie des palestiniens en imposant
des barrages routiers, en tirant le feu sur les réservoirs d’eau, en brûlant
les voitures, en cassant les vitres des maisons, en arrachant les plantes
et les arbres, en agaçant les commerçants, tout cela se fait a l’aide
des groupes juifs secrets qui, a ce qu’il parait a repris ces derniers
temps ses activités d’une façon plus agressive et au soufflé raciste.
Cinq des colons ont été dernièrement arêtes en Hébron, 3
d’entre eux ont été libères et ceci a la suite d’un attentat
d’agression contre des arabes; le tribunal militaire israélien a
condamné dernièrement 3 colons israéliens après avoir essaye
d’exploser une école palestinienne des filles en 2002, signalant que
rares pareilles condamnations effectuées par des colons se déclarent; et
même s’il ait lieu de condamnation, la punition n’a été jamais en
mesure du crime effectue.
*** La position de la loi:
D’après la loi internationale des Droits de l’Homme, les
colonies sont illégales et surtout d’après l’accord de Genève
consenti par Israël qui a reconnu l’inégalité de ce projet, surtout
si on considère cet Etat en tant que puissance coloniale qui lui est
interdit de transférer les citoyens vers les territoires occupés, comme
il lui est interdit d’effectuer n’importe quelle changement qui touché
aux indigènes sous l’occupation; dans ce cas, les colonies peuvent
causer des transformations qui touchent aux droits des palestiniens dictes
par les lois des Droits de l’Homme, et parmi ces droits:
le droit à l’égalité:
les envahis doivent être considères par les envahisseurs en tant que
citoyens israéliens jouissant d’une entière citoyenneté, alors
qu’en réalité, les palestiniens sont prives même de leur propre droit
qui est d’être sur leur propre terre.
Le droit de réaliser son avenir: la présence des colonies et des routes
coloniales emprisonnent les palestiniens dans des ghettos et annule ainsi
la continuité politique, économique et sociale des territoires de la
Bande de Gaza ainsi que ceux de la Cisjordanie, ce qui est une nécessite
pour établir un Etat palestinien.
Le droit au déplacement: le nombre des barrages militaires et des points
de recherché partout installes traumatise l’action du déplacement des
citoyens palestiniens et les prive de leurs droits fondamentaux tells que
les droits aux études, aux soins au travail.
Le droit de jouir d’un niveau de vie convenable: l’installation des
colonies auprès des agglomérations palestiniennes empêche l’évolution
civique et cause un embouteillage démographique, et la confiscation des
terres agricoles en faveur des colonies et la mise de la main des autorités
israéliennes sur les sources d’eau, tout cela limite les sources de
revenues du citoyen palestinien et prive des milliers d’une vie plus au
moins confortable.
Et ce qui porte sur les décisions de l’ONU, Israël n’a
respecté en aucun la majorité des décisions prises par cette
organisation internationale, et surtout celles qui concernent la
colonisation citant la décision 446 de l’an 1979; 452 de l’an 1989,
en plus des décisions annoncées par le Comite Général de l’ONU déclarées
en 1996, 1998 et 1999.
*** Des chiffres…..
Il existe actuellement plus de 200 colonies sur les territoires
palestiniens habitués par, a peu près, 400 milles colons, parmi eux 220
milles colons en Cisjordanie et à Jérusalem, en raison d’une série de
colonies dispersées aux alentours de Jérusalem l’occupée qui compte
un centre culturel, religieux et économique pour les palestiniens; et
avec l’élargissement colonial, les agglomérations palestiniennes se
sont éparpilles et le plan israélien a fait de sorte que les frontières
de Jérusalem englobent toutes ces colonies pour garantir ses frontières;
comme il existe une série de colonies près de la vallée de la Jordanie
occupant des terres palestiniennes fertiles qui empêchent la restauration
d’un état palestinien lié
aux frontières régionales reconnues par la communauté internationale.
Mais en ce qui concerne les colonies implantées à la Bande de
Gaza, elles occupant 40% des terres de la zone en faveur de 7 500 colons
seulement pour garder les 60% en faveur de 1.300.000 palestiniens.
La colonie de Goush Katif occupe pour elle seule l’un tiers du côté
sud de la bande de Gaza qui parcourt 40 Km, ce qui a prive les indigènes
des villes de Rafah et Khan Younés d’avoir accès à la mer et de jouir
de ses biens.
On déduit alors que les colonies, les routes coloniales et les
camps militaires implantes par Israël sur les terres palestiniennes en
Cisjordanie et a La bande de Gaza occupant 79% de la superficie générale
des territoires palestiniens; notant aussi que (5) milles colons résident
dans les colonies implantées a la vallée de la Jordanie consomment eux
seuls (300) fois la quantité d’eau consommé par les palestiniens.
PS: Et au cours de cette deuxième Intifada, la bande de Gaza se
trouvent de temps a autre divisée en (3) ghettos paralysant ainsi la
circulation des citoyens
*** Les frais des colonies…
En Septembre 2003, le quotidien israélien “Ha’aretz” a publié
un rapport qui dénonça la somme de 10 milliards en tant que frais
consacres depuis 1967 aux colonies, signalant que les frais consacrées
aux colons annuellement sont de la somme de (500) millions $; le quotidien
“Ha’aretz” a reconnu que la recherché de pareilles informations était
une tache pénible et décevante surtout que l’administration israélienne
a soumis certaines de ces dépenses sous d’autres titres et l’a
englobe avec les sommes consacres aux projets des agglomérations frontalières,
celles du Sahara Ennakab et celles des zones indésirables par les israéliens
faute de sécurité ou de chances de travail; et malgré qu’Israël
n’a pas officiellement englobe la Cisjordanie et La bande de Gaza a l’Etat
d’Israël, on le voit les traiter de temps a autre en tant que tells;
comme on signale, que les personnes qui ont eu recours a l’implantation
de pareilles agglomérations juives aux territoires palestiniens ont pu
profiter du soutien gouvernemental: profiter d’un soutien étatique de
la valeur de 80% du prix de domiciles, les primes de 4 ans d’ancienneté
dépourvus de taxes étatique consacrées aux instituteurs et de 100% des
frais de transport; les colons de la Cisjordanie, dont le nombre dépasse
220 milles ont aussi pu profité de routes coloniales, des réseaux
d’eau et de services sanitaires exceptionnels, et même des parcs
coloniaux a quelques milles mètres de Tel Avive et de Jérusalem
l’occupée, “Ha’aretz” signale ici que la famille d’une colonie
profite a peu près de 10 milles dollars de plus que la famille israélienne
qui vit aux frontières de la ligne verte, sachant que les primes dont
jouissent les colons proviennent des impôts imposés aux citoyens de l’état
d’Israël ce qui causa une faille raciale entre les colons et les israéliens.
Et d’après le mouvement” La paix maintenant”, l’Etat israélien
dépense la somme de 656 millions de dollars annuelles en faveur des
colonies, tout en réalisant que les dépenses du colon juif dépasse 10
fois les dépenses d’un citoyen israélien.
Les sondages ont confirme que 80% des colons ont choisi de vivre
dans les colonies pour seulement profiter de locaux de luxe a bas prix
surtout que pareils domiciles en Israël coûtent très chers et une
grande partie des ouvriers ne sont pas capables de s’en fournir des
pareils en Israël; et plusieurs colons désirent déménager en Israël
s’ils peuvent se fournir des domiciles a pareil prix. Et malgré tout
cela, en plus de la crise économique due au système économique libéral,
l’Etat d’Israël ne s’empêche de fournir de grosses sommes qui
peuvent atteindre des milliards de dollars pour élargir les colonies et
garantir leur entretien sur les territoires palestiniens ajoutant a ce
projet le mur de séparation racial qui ne fait que limiter la chance de
l’établissement d’un Etat palestinien viable: tous ces projets
soutiennent l’esprit de la droite extrémiste qui voit que la terre
palestinienne est “un droit israélien”.
A présent, à Israël
de décider et à choisir entre les négociations de paix et de résoudre
sa crise économique et sécuritaire en gelant le projet colonial et en décortiquant
des colonies ou de poursuivre ses projets destructifs qui mèneront les
israéliens et les palestiniens ainsi que la zone entière dans un
labyrinthe sans issue……
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