AFPS Nord Pas-de-Calais CSPP |
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-o- LES CAMPAGNES -o- |
- Suspension de l'accord d'association signé entre l'Union européenne et l'État d'Israël Occupation : pas d’Accords ! L’Europe peut agir pour la paix au Proche-Orient ». Argumentaire destiné à l'interpellation des pouvoirs publics français Plateforme
des ONG françaises pour la Palestine. Elles
se rejoignent autour d’objectifs variés, établis en concertation avec
les ONG palestiniennes partenaires : participer au développement des
Territoires dans des actions de partenariat ; être un lieu d’échange
de l’information et de synergie entre les organisations françaises de
solidarité internationale ; sensibiliser l’opinion publique française
aux droits légitimes du peuple palestinien ; intervenir auprès des
pouvoirs publics français et européens afin qu’ils prennent en compte
les aspirations du peuple palestinien à recouvrer ses droits légitimes. Depuis
sa création, la Plateforme a créé une dynamique et est devenue un lieu
de réflexion et d’action en solidarité avec la Palestine. Ses actions
se sont diversifiées, évoluant avec la réalité de la situation et des
besoins dans les Territoires occupés. Elle travaille surtout à la
diffusion de l’information, la coordination des programmes de développement
concertés, l’organisation d’actions de sensibilisation de
l’opinion, dont les campagnes citoyennes pour la paix. Agir ici fonctionne sur la base d’un réseau de 12 600 personnes qui ont signé
l’appel Agir ici pour un monde
solidaire. Chaque année, les membres du réseau reçoivent les
documents des nouvelles campagnes et sont informés de leurs résultats
via La Lettre des signataires. Agir ici est indépendant de toute organisation politique, syndicale ou
confessionnelle, et fonctionne essentiellement sur la participation
financière de ses membres. Lancée
à l’initiative d’Agir ici pour
un monde solidaire et de la
Plateforme des ONG françaises pour la Palestine, la campagne « Occupation : Pas d’Accords ! L’Europe peut agir pour la
paix au Proche-Orient » vise à interpeller les pouvoirs publics
tant nationaux qu’européens pour demander un rôle accru de l’Union
européenne au Proche-Orient afin d’obtenir à terme le retrait de
l’armée israélienne des Territoires occupés. Plus précisément, elle
a pour objectif d’interpeller les pouvoirs publics tant nationaux
qu’européens pour demander la suspension de l’accord d’association
signé entre l’Union européenne, ses Etats membres et l’Etat d’Israël
tant que ce dernier n’aura pas mis un terme aux violations de
l’accord. En effet, l’Union européenne
a toujours défendu une issue politique du conflit basée sur le respect
du droit international. Or, ses déclarations de principes ont trop
longtemps prévalu. L’Union européenne doit agir en tant que véritable
médiateur au Proche-Orient. L’accord d’association qu’elle a signé avec I’Etat
d’Israël dont plusieurs clauses sont systématiquement violées par ce
dernier constitue un levier politique privilégié permettant d’affirmer
son désaccord quant aux violations du droit international humanitaire
(c’est-à-dire du droit des conflits armés) et des droits de l’Homme
commises sur le territoire israélien et dans les Territoires occupés. Ce document a pour objectif de présenter les positions du gouvernement et du Parlement français sur la question israélo-palestinienne, les moyens à leur disposition et les arguments à leur soumettre pour qu’ils interviennent, auprès de la Commission européenne et du Conseil de l’UE, pour un respect des droits de l’Homme et des principes démocratiques par Israël et de l’accord d’association UE/ Israël.
I.1
Introduction. a La position de l’Assemblée nationale b Les moyens dont disposent le Parlement français c Les arguments à avancer I.6
ANNEXES
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